Un bon moment ( pv David)

J'arrivais donc au cimetière. La grille était ouverte. Je courus et vers elle.

-Bernadette Collins, as-tu jurer de me faire mourir de peur? Je vois bien qu'en se moment même je ne t'inspire rien d'autre qu'un profond dégout, mais ce n'est pas une raison pour aller à la mort! N'as-tu donc rien retenu de la dernière fois que nous sommes venu ici? Et... as-tu pensé, ne serait-ce qu'un instant à tout le mal, à toute la souffrance que tu nous causerait, à Gwendoline et à moi, si tu te faisais tuée? Tu n'es pas encore entrainée pour les combats, aller frôler la mort te fait donc tant plaisir? Pourquoi ne pas vendre ton âme au diable tant que tu y aie? Hein? Souffrir de quelque chose ne te donne pas le droit de faire des choses folles! Attend d'être entrainée, et là tu pourras libérer ta colère sur tous les vampires que tu croiseras!

Une chose que je ne disais pas: si elle mourait, je mourrais moi aussi. L'amour que je portais pour elle était tel qu'il aurait tué un simple humain.

-Regard un peut la tombe et tu comprendra ! et de deux j'ai un pieux pour me défendre !

J'allais lui lancer un défis. Un tout simple.

-Tu saurais te défendre? Et bien vas-y: essayes de me battre!

J'ôtais ma veste et attendis. J'avais une petite idée derrière la tête je l'avoue, et une idée autre que celle de lui donner une petite leçon de combat, même si cela entrait dans mon plan... je faisais en fait d'une pierre deux coup. Et si il y avait des vampires, je ferais donc d'une pierre non pas deux mais trois coups! Enfin... ne mettons pas la charrue avec les boeufs n'est-ce pas? Je maintenais son regard, les yeux dans les yeux. Je savais parfaitement que c'était la tombe de ses parents, mais il n'empêche que c'était très imprudent!

-Sa recommence....

Je la pris par le bras et l'emmena un peu plus loin, où j'étais presque sûr que personne ne pourrait nous voir.

-Bernadette, calmes-toi, je t'en pris!

Je l'embrassais. Pas uniquement parce que j'en avais envi depuis un bon moment, mais parce que, avec un peu de chance, elle se calmerai un peu.

-Est-ce que tu sens à peu près combien ils sont, ou part où ils arrivent? Concentres-toi, et ne t'en fait pas, je m'en charge. Il me faut juste quelques informations, et tout ira bien.

Je la pris dans mes bras, la frictionnant un peu. Ses tremblements cessèrent peu à peu, mais pas totalement. Je lui souris, confiant.

Berna, n'arriver pas a comprendre pourquoi elle a se genre de pouvoir et a quoi sa pouvais lui servire ? ça seul le temps pourra lui dire. Alors que David l'emmena loin, et qu'il l'embrassa, elle lui répondit sans attendre. Et elle écouta David qui lui demanda de se calmer et de se concentrez, alors elle ferma les yeux et elle essaya de se concentre. Elle a énorménement du mal a causse de ses tremblement, mais elle réussi au bout de plusieurs minutes, ses tremblement s'arrêta completement et elle re ouvra les yeux brusquement, et elle regarda david et lui dit.

-Ils son dix, et ils arrivent.

Dit elle en le regardant, puis elle se releva et elle se senter mieux, et elle resta tout de même sur ses gardes. et elle regarda dans la direction des vampires qui devrait plus tarder à arriver, et elle se demanda si David aurait un pieux, car elle avait pas l'attention de le laisser se battre seul.

-Ta un pieux ?

demanda-t-elle a David, en espèrant qu'il en a un , même si berna elle en avait un sur elle. D'ailleurs, elle montre son pieux à david.

-Ils son dix, et ils arrivent. Ta un pieux ?

Elle sortis le sien.

-Non, je n'en n'ai pas, mais c'est tout comme. Il y a plein d'arbres ici, j'ai ce qu'il me faut. Toi, tu restes là, tu restes prudente, et surtout, je ne te montre pas, tu dis ou fais rien. S'il te plait. Je m'en charge.

Elle allait répondre, mais je ne lui en laissait pas le temps, l'embrassant une nouvelle fois et me mettant immédiatement après à découvert. Je me doutais un peu qu'elle m'en voudrait, et me ferait une vie de voleur, parce que je n'avais pas voulu la laisser participer au combat, mais peut m'importais. Je ne voulais que son bien, or, elle ne voulait qu'en faire à sa tête, montrer de quoi elle était capable, faire ses preuves. Je m'attendais à tout moment à la voir surgir. Un des vampire me sauta dessus. Comme un parfait imbécile, je n'avais pas cassé tout de suite une branche pour me défendre. Je parvins à me dégager, et à attraper la branche en question. Avec bien du mal, je parvins à le lui planter en plein coeur.

Je constatais que Bernadette ne m'avait pas écouté, et admirais entre deux vampires ses performances, pas encore totalement bonne, et pourtant... elle me parut plus belle que jamais. Elle se débrouillait assez bien pour une débutante. Elle avait l'air sûre d'elle, prête à tuer autant de vampire qu'il fallait, je lisais la détermination dans ses yeux. A la fin, une fois sûr qu'il n'en restait plus un pour venir nous dérangés, je m'avançais vers elle, l'air sévère. Elle me regardait, s'attendant visiblement à tout. Ma première intention était de lui crier dessus pour ne pas m'avoir écouter, d'avoir mis sa vie en danger, mais... une envie plus forte me força à ne pas le faire. Non, à la place, je la soulevais, et l'embrassais passionnément. Si elle savait combien je l'aimais... combien j'avais peur pour elle... combien je m'en voulais de ne pas avoir arrêter les choses tout de suite. Combien je m'en voulais de ne pas être humain. J'avais... 210 ans. Et elle... 17! J'avais fait du mal auparavant. J'avais tué. Elle... non. Elle était douce, innocente... et malheureuse. Et tôt ou tard, il faudrait que je parte. Sinon je le savais, je ferai quelque chose de stupide. Comme la transformée. Je mis fin au baiser, quelques minutes plus tard, mais n'attendis pas sa réaction, et repartis vers la maison.