rencontre avec le protecteur ( Gwend et David)

Je cherchais les soeurs Collins. Ma mission était, je venais de l'apprendre, de les protégées, à la fois d'elles mêmes et de ceux qui voulaient les tuées. Je venais à peine d'arriver, mais le temps pressait. Il n'y avait de place ni pour de la distraction, ni pour l'erreur. En regardant autour de moi, je vis deux jeunes filles, seules. A cette heure là, c'était plus qu'imprudent, c'était totalement suicidaire. Visiblement, elles n'avaient aucune idée de ce à quoi elles s'exposaient. Tant d'êtres démoniaques rôdaient la nuit dans les coins sombre, attendant une proie, s'amusant à la traquée avant de lui sauter dessus et de la tuée, de préférence à petit feu... Je m'avançais vers elles.

-Veuillez me pardonner mes demoiselles, mais l'heure n'est-elle pas quelque peu incongrue pour vous balader seules dans ses rues?

Je restais prudent, mieux valait toujours se méfier de tout et de tout le monde. L'une d'elle se tourna vers moi, un air étrange sur le visage.

Alors que la jeune Collins, marcher seul dans les rues de la ville, essayant de retrouver sa jeune sœur qui doit être bien quelques part mais où ? ça seul gwend le sais. Puis soudain son regard fut intriguer part un homme qui d'ailleurs se dirigea vers elle, restant sur c'est gardes, laissant l'inconnue s'approcher d'elle. Elle avait l'impression qu'il n'est pas de Hardville, car sinon elle l'aurait déjà croiser en ville, alors que ce dernier s'arrêta devant elle et il lui adressa la parole. Il disert que s'était imprudent de se balader en pleine nuit.

* Je ne le connait pas mais il marque un point*

Pensa-t-elle.

-Oui c'est vrai, mais je cherche ma soeur qui est encore chez c'est des amie.

répondit elle a l'inconnue, elle le détailla de la tête au pied et elle se demanda se qu'il faisait là.

-Oui c'est vrai, mais je cherche ma soeur qui est encore chez c'est des amie.

Elle m'avait répondu à ton égal, ce qui me surpris de sa part. Pour dire vrai, je m'étais attendu à ce qu'elle me donne la gifle du siècle, ou à ce qu'elle s'enfuit, ou encore à ce qu'elle se fiche de moi. Mais elle n'avait rien fait de tout cela. Elle était assez étonnante dans son genre!

-Sauriez vous chez quelle amie se trouve votre jeune soeur? Il serait prudent d'aller la retrouver sur le champs afin que vous rentriez chez vous avant que votre famille ne s'inquiète.

Son visage s’assombrit. De toute évidence, je l'avais blessée, et je ne savais pas pourquoi. A moins que... serait-ce... elles? Ces deux soeurs orphelines?

-Pardonnez moi de vous avoir blesser. Derechef, pardonnez mon audace, mais ne seriez vous pas l'une des soeurs Collins?

J'espérais que si, car il était important de lier connaissance avec elles.

Berna, n'avait pas peur des inconnue est encore moins de leur répondre, mais a se moment là, elle ne se douter en aucuns cas qu'il est leur protecteur, enfin elle ne se douter vraiment de rien de ce qui est en train de passée en ce moment même. Alors qu'elle lui avoue qu'elle est partie chercher sa jeune sœur qui se trouve chez des amie a elle, ce dernier lui demanda ou se trouvent ces amie pour aller la chercher avant que sa famille s'inquiettent pour elles. Là, elles changea d'habitude, mais elle comprit qu'il n'était pas de la ville, car tout les habitants ici savent ce qui s'était passer, et le fait qu'elle attende le mot famille, la fait souffrit plus autres choses. Mais cependant elle essaya de rien laisser apparaitre et de garder son calme, du moins si elle arrive a contrôler son émotion et elle lui dit.

- Non je ne sais pas ou se trouvent ces amie, mais je me débrouillerait toute seul !

répondit elle a l'homme, puis celui-ci s'excusa, mais berna ne fait pas attention a ses excuse, car elle ne le connait pas. Puis celui-ci lui demanda si elle ne serait pas l'une des sœurs Collins, là elle fut très surprise et intriguer. Elle reste sur ces garde et se demandant comment il pouvais savoir qui elle est, elle décida alors de poser des question, tout en restant sur la défensive et peut être même en attaque si jamais c'est quelqu'un qui leur veut du mal.

- Qu'est ce que vous nous voulez ?

demanda-t-elle tout en le regardant attentivement.

- Non je ne sais pas ou se trouvent ces amie, mais je me débrouillerait toute seul ! Qu'est ce que vous nous voulez ?

Je souris et répondis:

-Vous avez de nombreuses choses à apprendre, à découvrir, à maitriser, mais disons pour le moment que je suis un ami, et que je vais par la même occasion m'occuper de vous et de votre soeur, de manière à ce que vos voisins ne puissent plus vous chasser, et que vous puissiez tenir votre rôle au sein de cette ville. Allons avant toute chose rechercher votre soeur, puis allons chez vous. Je vous expliquerai tout. Ayez confiance, je vous en conjure.

Me croirait-elle? Me ferait-elle confiance? Sans doute que non, je ne me ferai pas confiance moi même. Mais il était important qu'elle me crois, car sinon, elle et sa soeurs risquaient non seulement l'expulsion, mais pire encore: la mort.

-Qu'est ce qui me dit que c'est pas un piège ?, après tout je ne vous connait pas et sachez que moi est ma sœur on c'est toujours débrouiller seul !

Je souris franchement. J'étais fière d'elle.

-Votre réaction est justifiée, et je dois avouez que je suis assez fière de vous. Mais croyez moi, si je vous voulez du mal, je vous en aurait déjà fait, j'en ai eu l'occasion dès le début. Quoi que vous pourriez avoir, et sans mal, l'avantage. Quoi qu'il en soit, si vous doutez encore, voyez au plus profond de vous, cherchez. On dit que la première impression est toujours ou presque la bonne. Il suffit de voir les choses très clairement. D'avoir l'esprit ouvert. Les choses ne sont pas toujours ce qu'elle ont l'air d'être vous savez: vous pouvez croiser une personne qui a l'air honnête et doux comme un agneau sans qu'il le soit en réalité, tout comme vous pouvez croiser une personne totalement contraire.

-Vous pourrait être plus claire dans votre baratin ? parce que là c'est dure de comprend, si vous voulez nous faire du mal , on sais largement se défendre alors...

-Ce serai plus simple si je n'avais pas à répéter les choses deux fois... Vous savez vous défendre, d'accord, mais il n'empêche. Ecoutez, j'ai été envoyé ici, pour vous venir en aide, alors on va rechercher votre soeur, je vous reconduit chez vous, et je vous explique tout ce que je sais.

Le temps pressait, il fallait que ce petit jeu cesse, mais je ne voyais pas comment lui faire comprendre qu'elle pouvait me faire confiance!

- Je vous laisse une chance, mais si vous tentez quoi que se soit sa va barder !

Je retins un rire, mais ne pu maitriser mon sourire. Je n'allais pas m'embêter avec elle!

-Au faite vous vous appeler comment ?

-Mon nom est David. Et vous, vous devez être Gwendoline, me trompe-je? Ou... non, attendez... vous êtes sans aucun doute l'ainée, vous êtes donc Bernadette...

On m'avait dis que Gwendoline avec un caractère assez fort, mais de toute évidence, Bernadette avait elle aussi un caractère très fort! Oui, je n'allais pas m'embêter... le tout serai de leur faire comprendre que j'étais l'adulte et qu'elles devaient m'écouter... comment faire comprendre cela à deux jeunes orphelines ayant vécues seules assez longtemps pour ne plus rien attendre de la part des autres et ne compter que sur elles même?

Gwen était encore parti pour la soirée, sortant encore une excuse minable comme quoi elle allait chez des amis. Mais si Berna savait qu'elle ne faisait qu'errait comme une âme en peine dans les rues de Harville, cette dernière ferait tout pour qu'elle reste à la maison. Mais Gwen ne supportait pas de rester longtemps dans un endroit où les souvenirs qui y régnaient ne lui faisaient que plus de mal encore. A quoi se souvenir des meilleurs moments passés dans un endroit aujourd'hui dépourvue de joie, bonheur éphémère qui leur a été retiré brutalement lors d'une seule et unique nuit.

Comment le Destin pouvait-il se montrer aussi odieux envers elles ? Jamais encore, elles n'avaient quoi que se soit pour que le malheur frappe à leur porte et pourtant....... Ce traître était venu sans crier gare, enlever leur parent en les tuant. Gwen ne cessait de poser la même question. Avaient-ils souffert ? Ou bien étaient-ils morts sur le coup ? Que cela soit l'une ou l'autre, la jeune fille ne l'acceptait pas, elle se refusait à croire en l'évidence, elle pensait que d'un moment à l'autre, ces parents allaient revenir d'un petit voyage qu'ils avaient fait en amoureux. Mais plus, elle se répétait cela et plus cela la faisait souffrir et la rendait dans une humeur noire incontrôlable.

Elle marchait main dans les poches, sans vraiment regarder le chemin qu'elle arpentait, de toute manière, elle ne risquait pas de buter contre quelqu'un, il n'y avait jamais âme qui vive le soir. C'était une véritable ville fantôme passait une certaine heure. Une chose qui exaspérait plus que tout, la jeune fille. Pourquoi mettre un couvre feu ? A quoi cela servait-il ?

Mieux valait ne pas trop réfléchir sur ce point, sinon elle allait véritablement s'énerver et avoir envie de taper sur tous ce qui croisait sa route. Il était devenu impossible pour elle de se contrôler, bien qu'elle paraisse calme et se moquait de tout, la jeune fille emmagasinait tout en elle et cela finissait par exploser et cela pouvait faire très mal.

Gwen s'arrêta un instant, réfléchissant à son comportement, son changement radical de personnalité, de jeune fille joyeuse et toujours sympathique, elle était passée à froide et rebelle. Changement plus que radical, mais au moins à présent, elle était protégée par une barrière infranchissable qu'elle ne permettait qu'à peu de personne de passer, sa soeur pouvait y parvenir, mais leur relation serait toujours aussi tendue. Les amis ? En avait-elle vraiment ? Bien sûr, elle savait se montrer sympas avec ceux qui parvenaient à faire naître en elle de la sympathie, chose assez rare, mais il y en avait, ces derniers acceptaient Gwen avec sa personnalité bien à part et unique.

Bifurquant sur la gauche, Gwen entendit des voix s'élevait non loin d'elle, l'une d'elle était sa soeur et l'autre, masculine, mais elle ignorait qui cela pouvait bien être. Elle avança un peu plus.

-Mon nom est David. Et vous, vous devez être Gwendoline, me trompe-je? Ou... non, attendez... vous êtes sans aucun doute l'ainée, vous êtes donc Bernadette...

Gwen soupira, franchement sa soeur ne savait pas continuer son chemin quand un homme bizarre l'abordait. Bon d'accord, ce n'était pas la meilleure, elle sortait la nuit juste pour s'éloigner de l'atmosphère pesant de cette maison aux horreurs. Elle s'avança vers sa soeur et se mit entre elle et cet homme le fusillant d'un regard plus que noir.

- Hey le pervers ! Ose un seul mouvement envers ma soeur et je te jure que jamais tu ne pourras espérer avoir une descendance.

Gwen prit la main de sa soeur pour la reconduire à la maison, chose qu'elle aurait dû faire depuis un moment au lieu de converser avec cet inconnu qui n'était même pas originaire de Hardville, Gwen connaissait tout le monde ici et jamais elle ne l'avait vu de plus sa tête ne lui revenait pas, il avait ce petit quelque chose qui lui tapait sur les nerfs.

[HRP : Je propose un ordre de passage, Berna, David et moi, cela sera mieux ]

Berna écouta l'homme qui lui dit sont nom, mais dans la fouler, il lui demanda si elle s'appeler gwend, mais après il se rattrapa en disent qu'elle doit être Bernadette, l'aînée des deux sœurs. Là, elle resta silencieuse, ne sachant pas quoi dire, mais préférant de penser.

* Géniale de mieux en mieux, ce type arrive en ville et il sait comment on s'appelle, bizarre tout sa !*

Alors, elle le regarda droit dans les yeux et lui dit.

- Comment vous savez comment on s'appelle ?!

dit elle d'un ton remplie d'étonnement mais aussi très intriguer, comment un homme comme David qui vient tout juste de débarquer en ville, puisse déjà connaitre leurs noms ? tout ça intriguer largement Berna et il y avait vraiment de quoi. Alors qu'elle fut plonger dans ces penser, voilà que sa jeune sœur Gwendoline arrive et qui intervient dans la conversation, qui était d'ailleurs, devenue très intéressant . Elle l'écouta attentivement gwendo qui faisait une menace envers David, puis elle prend la mains de Berna pour se diriger vers la maison. Mais voilà, têtu comme elle est elle arrêta sa sœur et lui dit.

-Attend gwend, faut qu'on ramène David chez nous.

dit elle en la regardant trois dans les yeux.

- Comment vous savez comment on s'appelle ?!

Avant que je puisse répondre, une seconde fille apparue. Gwendoline.

- Hey le pervers ! Ose un seul mouvement envers ma soeur et je te jure que jamais tu ne pourras espérer avoir une descendance.
-Attend gwend, faut qu'on ramène David chez nous.

Je souris.

-Je vous expliquerais tout, je vous le promet, une fois que nous serons chez vous. Quand à vous ma chère, il ne fait aucun doute que vous êtes Gwendoline. On ne m'a pas menti, vous avez un caractère très particulier. Il vous sera utile dans certains cas, mais prenez garde: il pourra se retourner contre vous. Et pour finir, rassurez vous, je ne ferais de mal ni à vous, ni à votre soeur.

-Attend gwend, faut qu'on ramène David chez nous.

Gwen se retourna vers sa soeur complètement interdite, se posant plusieurs fois la question si oui ou non elle avait bien entendu. Elle ! La jeune fille prudente sous toutes les coutures étaient entrain de dire qu'elle devait emmener un étranger dans leur maison. La jeune fille se demandait si elle n'était pas tombée malade pour dire ce genre de chose complètement stupide.

Gwen n'avait absolument aucune confiance en cet homme et elle ne l'aimait pas du tout, mais alors vraiment pas du tout. De plus, Gwen n'appréciait que très peu de monde et ces personnes se comptaient sur les doigts de la main.

-Je vous expliquerais tout, je vous le promet, une fois que nous serons chez vous. Quand à vous ma chère, il ne fait aucun doute que vous êtes Gwendoline. On ne m'a pas menti, vous avez un caractère très particulier. Il vous sera utile dans certains cas, mais prenez garde: il pourra se retourner contre vous. Et pour finir, rassurez vous, je ne ferais de mal ni à vous, ni à votre soeur.

La jeune fille le dévisagea d'un regard des plus sombres. Comment pouvait-il connaître son nom ? Et qui ne lui avait pas menti ? Gwen ne comprenait absolument rien à ce qu'il racontait, c'était du charabia. Elle se contentait de le regarder des pieds à la tête tout en se mettant devant sa soeur, geste instinctif pour la protéger, même si elles ne se parlaient plus, il était hors de question que quelqu'un lui fasse du mal, elle s'y refusait et pourrait même tuer si cela devait arriver un jour.

- Ce n'est parce que tu dis « Rassurez-vous je ne vous ferez pas de mal », dit-elle en l'imitant, que je vais forcément te croire.

Gwen se retourna vers sa soeur un moment le regard furieux sur cette chose qu'elle avait dite tantôt.

- Mais t'es complètement folle de vouloir ramener un étranger chez nous ! Si tu crois qu'il va poser un pied à la maison tu te trompes. Je ne l'aime pas du tout, il ne me dit rien qui vaille.

Gwen l'avait dit bien haut et fort se moquant complètement qu'il le prenne bien ou pas, selon lui, il avait été mit au courant de son caractère et bien, il devait s'attendre à une remarque de ce type. La jeune fille avait aucune envie qu'il vienne chez eux pour leur expliquer le comment du pourquoi il connaissait leurs noms et elle n'avait surtout pas envie de connaître toutes les bêtises qu'il était entrain de préparer dans sa tête pour mieux les convaincre. Sa soeur était peut-être plus facile à atteindre, mais il fallait beaucoup pour convaincre Gwendoline Collins.

-Gwend écoute, ce type sais vraiment quelques choses sur nous , et j'aimerais savoir comment il est au courant sur nos prénoms, et si jamais il tente quoi que se soit, lui il est seul nous on est deux réfléchie, c'est qui qui a l'avantage là ? Lui ? ou nous ?

Je me raclais la gorge.

-Pardonnez moi, mais je ne suis pas totalement sûr que vous auriez l'avantage. Non que je remette en doute vos capacités en arts martiaux, mais... enfin, vous comprendrez tout à l'heure. Mais je vous le répète, si j'avais voulu vous faire du mal, croyez moi, je l'aurai fait! J'en ai eu mainte fois l'occasion en cette soirée, et pourtant, vous êtes toujours vivante.

-Gwend écoute, ce type sais vraiment quelques choses sur nous , et j'aimerais savoir comment il est au courant sur nos prénoms, et si jamais il tente quoi que se soit, lui il est seul nous on est deux réfléchie, c'est qui qui a l'avantage là ? Lui ? ou nous ?

Gwen était plus que surpris par le ton que sa soeur avait lorsqu'elle lui répondit. Tenait-elle vraiment à savoir qui elles étaient ? Pour la jeune fille c'était pourtant claire, elles étaient Bernadette et Gwendoline Collins, orpheline depuis peu. Il n'y avait rien à savoir de plus sur leur sujet et cet homme qui apparaissait devant elle voulant leur apprendre des choses qu'elles mêmes ne connaissaient pas. Comment savoir s'il disait la vérité.

En ce moment même, Gwen trouvait sa soeur complètement stupide, elle semblait oublier un détail qui avait son importance, même si cela l'énervait, elle devait se l'admettre, c'était un homme et elles n'étaient que de simple lycéennes sans connaissances particulières pour le self-défense à moins que Berna avait réussi à trouver un endroit où s'entraîner pour ce genre de chose, ce qu'elle doutait fort.

-Pardonnez moi, mais je ne suis pas totalement sûr que vous auriez l'avantage. Non que je remette en doute vos capacités en arts martiaux, mais... enfin, vous comprendrez tout à l'heure. Mais je vous le répète, si j'avais voulu vous faire du mal, croyez moi, je l'aurai fait! J'en ai eu mainte fois l'occasion en cette soirée, et pourtant, vous êtes toujours vivante.

Gwen le fusilla du regard, elle ne l’aimait vraiment pas et le fait d’accepter la demande de sa sœur ne l’enchantait guère. Qui sait ce qu’il pourra arriver une fois qu’il serait entré chez elle, la jeune fille soupira longuement puis regarda à nouveau sa sœur.

- S’il tente quoi que se soit, je le castre, c’est clair !

-D'accord, on fait un essai et on verra.

Puis, elle s'avança vers moi et dit:

- Alors là, si vous faite cette menace là on va pas être copain !

Je ris.

-Ma chère, je ne menace personne, je ne fais que souligner un fait. Je puis vous jurer solennellement que jamais je n'essayerai de vous faire du mal, et même si, pour le moment, vous doutez encore de moi, vous le comprendrez assez tôt.

Je sentis une présence pour le moins inquiétante pas loin.

-Plus tôt que vous le croyez. Mettez vous derrière moi!

Comme elle ne réagissaient pas, ce fus moi qui me plaça devant elles.

-Ne bougez que si je vous en donne l'ordre, je vous en conjure!

Je sortis un pieu de ma manche, me mis en position de défense, et attendis.