Hardville
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.


Bienvenue dans une ville pas comme les autres. Y trouveras-tu ta place ?
 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le Deal du moment :
Cartes Pokémon 151 : où trouver le ...
Voir le deal

 

 The Destiny of Collins Sisters ( épisode 2)

Aller en bas 
AuteurMessage
Bernadette Collins

Bernadette Collins


Messages : 588
Date d'inscription : 17/02/2011
Age : 34
Localisation : Hardville

The Destiny of Collins Sisters ( épisode 2) Empty
MessageSujet: The Destiny of Collins Sisters ( épisode 2)   The Destiny of Collins Sisters ( épisode 2) Icon_minitimeMer 25 Avr - 10:05

Le premier vous va plus ? alors le deuxième aussi ! la voici bonne lecture a tous.

The Destiny Of Collins Sisters



Épisode 2, Saison 1

Bienvenue à Los Angeles.



Prologue


Dans la Base Secrète



Une semaine plus tard, à la base, rien a changer, sauf pour l’équipe de surveillance. Qui eux maintenant, ont une mission, tout ça, grâce à l’importance découvert de l’archéologue, Jack Jackson. Qui celui-ci à réussi a décrypter le message, qui se trouver sur le parchemin. D’ailleurs, sur cette révélation, qui a été révéler sur les deux sœurs et sur le vrai monde. La fameuse équipe de surveillance, ils sont la mission, c’est de trouver les deux sœurs et de savoir qui elles sont vraiment. C’est une tache, qui est loins d’être la plus facile de tous.
Puisqu’ils ne savent pas comment elles s’appellent, ils savent seulement deux choses, la première, c’est que le vrai monde c’est mise en mode réveille, puis la deuxième chose, c’est qu’il y a que deux sœurs qui peuvent se battre contre le mal. Avec les deux seuls informations, toute l’équipe sont entrain de travailler depuis une semaine. Jack, le fameux archéologue, il se trouve toujours dans sont bureau, il faisait des recherches sur le parchemin, mais en vains. Pendant ce temps-là, dans les deux autres bureaux, le commandant Anders, il est en train de faire des recherches sur internet, c’est juste pour savoir où se trouvent les lycée et collèges a Los Angeles, tout en sachant que los Angeles est une ville immense.
Donc, les école ça ne manquer pas. Il imprima des adresse des lycée, qu’il a trouver, il vient de trouvée 5 Collège et 2 lycées. Sur ceux, il arrêta ses recherches, pour aller voir son amie Jack Jackson. Il se leva donc de son bureau, pour aller se rendre dans celui de son amie. Cinq minutes plus tard, il arriva devant le bureau de son coéquipier, puis il donna quelques coups à la porte de ce dernier.
- Salut.
Dit-il en pénétrant dans le bureau de Jack, qi lui, il leva rapidement son regard vers le commandant Anders.
- Salut, ça va?
Répondit-il à son chef d’équipe.
- ça va bien et vous ?
Répliqua le commandant le commandant Anders, qui venait de retournait la question.
- Oui, ça va.
Dit-il en replongeant son nez sur le parchemin, pendant ce temps-là, le chef de l’équipe, il commença a se balader dans le bureau de se dernier. Il regard tout ce qui se trouve dans la pièce , cependant il n’aime pas le silence, il n’a jamais aimée le silence. Surtout qu’il est venue pour prendre des nouvelle, alors, il brise le silence.
- Alors vos recherches, ça avance ?
- Non pas tellement… tout ce que je sait, c’est qu’elles doivent avoir entre 14 ans et 17 ans et qu’elles sont toujours ensembles.
Expliqua-t-il à Anders. Qui lui, il se retourna vers son amie pour prendre la parole.
- Si, elles sont ensembles, c’est assez normale qu’elles soit toute les deux des sœurs. Mais ce que je voulait dire, c’est Est-ce que vous n’aurait pas quelques choses dans vos bouquins où dans vos not, qui parlerait d’une quelconque légende qui serait en rapport avec notre affaire.
Dit il a son amie, qui écouta avec une grande attention. Après les paroles d’Anders, celui-ci fut intriguer sur la façon don, jack est en train de le regarder, d’ailleurs ce regard, il le connait que trop bien. Mais lorsqu’il va lui poser la question, il a une drôle d’impression qu’il va de surprise en surprise, cependant, c’est bien plus forte que lui.
- Pourquoi vous me regarder comme ça ? J’ai dit quelques chose qui ne fallait pas ?
Demanda-t-il a son amie, pour que lui-ci s’explique sur ce qui est en train de penser.
- Sur ce que vous venait de dire à l’instant, n’est pas bête, j’aurais du y penser plutôt
Dit il a son chef.
- Et ?
- J’ai un amie qui pourrait peu être nous aidée.
- Expliquez-vous.
- Et bien, en faite, j’ai un amie qui travaille dans une agence de détective privés. Il s’appelle Daniel Millier, c’est un archéologue comme moi. Et il a sans doute des livres ou autre qui pourront nous aidée voir même a trouvée les deux sœurs.
Expliqua-t-il à Anders, qui celui-ci, écouta avec une grande attention. Pour une fois son récit ne la pas fait dormir, car d’habitude lorsqu’il s’élança dans ses explication, il a le don de faire dormir. Mais ce coup-ci sont explication se trouve très rapide, donc le commandant Anders va vite reprendre la parole. Puisqu’il fut tout de même intriguer sur un point.
- D’accord, mais si c’est un archéologue comme vous. Alors pourquoi il est dans une agence de détective privés ?
Demanda-t-il a son collègue.
Qui lui, ne savait pas quoi lui répondre, étant donnée qu’il n’a jamais fait attention a ce détaille. Il haussa les épaules et il lui dit.
- Bonne question, je n’avais jamais fait attention… mais ça vaut le coup que je lui téléphone.
Répondit-il a son chef d’équipe. Le commandant de l’équipe, reste silencieux, puisqu’il est en train de réfléchir. D’ailleurs, il se demanda, si après tout serait une bonne idée de le mettre au courant, vu que c’est tout de même risque. Mais pour le moment, ils n’on pas tellement le choix.
- Bon, c’est ok, vous pouvait lui téléphoner, est avec de la chance, il pourra nous aidée.
Dit-il a son amie, qui prend tout de suite le téléphone est commença a composer le numéro de son amie archéologue, qui se trouve à l’agence de détective.


**************************************************************************************


Dans l’agence de détective


Dans la ville de los Angeles, c’est toujours aussi calme, le beau temps est toujours au rendez-vous. D’ailleurs à l’agence, c’est toujours le temps mort. Le dirigeant de cet équipe, qui est David, celui-ci se trouve toujours dans sont bureau, en train de travailler. Malgré ce temps mort, il trouve toujours le moyens de s’occuper. Mais pendant qu’il se trouver bien tranquillement dans sont grand bureau. Dans le hall ou ce trouve actuellement l’accueille, là aussi, il ne se passe pratiquement rien, il y a que Paige Horton, celle-ci, n’a pas encore dormir, étant donnée qu’elle doit surveiller et de répondre au téléphone. Cependant, elle pourra aller se coucher, puisqu’Amy Torrissonne, cette dernière était en train de dormir.
Alors, qu’elle dorme paisiblement, voilà, que son radio- réveille se mire a sonner, elle ouvra alors les yeux et arrêta son réveille. Elle se leva enfin de sont lit et avant de descendre, elle s’habilla tranquillement, et une fois qu’elle fut enfin prête. Elle sort enfin de sa chambre, descendis les escalier pour se trouver dans le hall de l’agence ou elle trouva la jeune adolescente Paige Horton. Elle se dirigea vers la cuisine, avant de commencer la journée, elle le démarre toujours avec un bon café. Cinq minutes plus tard, Amy, revient vers l’accueille pour être avec Paige. Sachant que cette dernière n’a pas encore dormi, alors elle pose sa tasse sur le bureau et adressa la parole a l’adolescente.
- Bonjours Paige.
- Bonjours Amy, bien dormi ?
- Oui très bien, et je suppose que tu n’a pas encore était dormir ?
- Non, effectivement, je n’est pas encore dormir.
- Bon alors, tu peu y aller, je vais prendre la révèle.
- Super, merci beaucoup Amy.
- De rien.
- Bonne nuit ou plutôt bonne journée a toi.
- Bonne nuit Paige.
Répondit-elle à Paige, qui quitta l’accueille, elle alla d’abord voir David et Daniel pour lui dire bonne nuit. Puis elle traversa tout le hall, pour se diriger vers les escalier, pour monter au premier étage, dans lequel se trouve sa chambre. Pendant ce temps, dans le bureau de Daniel Millier, il est en train de travailler sur des langues anciennes. Puis le téléphone qui se trouve sur son bureau, se mire a sonner. Il regarda l’heure qui indiqua sa montre, pour être exacte, il est 8 heures 30, d’ailleurs, il se demande qui peut l’appeler de ci-bonne heure. Alors, pour le savoir il décrocha.
- Bonjour, Daniel Millier, j’écoute.
- Bonjour, Daniel, c’est Jack à l’appareille.
- Ha, Jack , comment va-tu ?
- Ça va bien et toi?
- Je vais également bien.
Une fois que les salutation sont finit, Jack, décida d’engager la conversation. S’il veut qui les aident, il n’a pas tellement le choix que de tout lui dire. C’est un risque a prendre.
- Voilà, si je t’appelle, c’est pour avoir ton aide.
Commença-t-il a expliquer a son amie.
- Ha, vas-y, je t’écoute.
- J’ai l’un de mes collègue, qui est également un archéologue. Et il a trouver un très vieux parchemin, est qui est écrit part les anciens.
- Des anciens ?
Répéta Daniel intriguer.
- Oui, les anciens sont nos ancêtres, les tout premier être humains sur la terre.
- Ha d’accord, et tu à réussi à les décrypter ?
- Oui, et voilà ce qu’ils disent, ils parlent de deux jeunes sœurs pas comme les autres, étant donnée que l’une d’elles a une force surhumaine et l’autre une puissante sorcière. Et ils disent aussi que le vrai monde est en train de se réveiller.
Expliqua Jack à, Daniel.
- Et ils ne disent rien d’autre sur le parchemin ?
- Non rien d’autre, et c’est pour ça que je t’appelle, c’est pour savoir si tu n’aurait pas part hasard, un bouquin où autre qui parlerait de cette fameuse légende ?
Demanda-t-il à Daniel, en espérant, qu’il pourra les aidée dans leurs recherche. Et ils pourront vite trouver les deux sœurs en question.
- Ils ne disent pas de quel mal est en train de se réveiller ?
- Hélas non, ils ne disent rien dessus. C’est tout ce que je sais pour le moment.
Répondit-il à Daniel.
Qui celui-ci pendant qu’il l’écouta, il réfléchis si dans tout les livres qu’il a dans son bureau. S’il n’aurait pas quelques chose qui se rapprocherait du parchemin.
- D’accord, ben écoute je vais regarder dans mes livres, voir si j’aurait pas quelques chose qui se rapprocherait de ton parchemin.
- Ok, merci beaucoup, mais quelques chose me dit que c’est du sérieux.
- De rien, je te tiendrait au courant si je trouve quelques chose. Avec ce que tu viens de me dire, c’est du sérieux. Cependant pense tu que les deux sœurs sont ici ?
- Justement, on ne sait pas du tout. On a commencer des recherches, on verra bien ce que ça donne. Mais il y a beaucoup de chance, qu’elles ne soient pas a los Angeles.
- D’accord, ben écoute, je vais commencer les recherches de mon coter, et des que j’ai quelques chose, je t’appelle.
- Ok, il n’y a pas de problèmes est encore merci.
- Mais de rien, c’est tout à fait normale que entre collègues et amie, on s’entraide.
- Oui, c’est vrai, tu a tout à fait raison.
- Bon alors je vais commencer a faire des recherches. Et je te dirait quoi.
- D’accord, ça marche, je vais te laisser, j’ai encore du travaille.
- Ok, pas de problèmes, aller au revoir.
- Au revoir.
Puis tout les deux raccrochent en même temps, chacun de leur coter. Daniel, il se leva de son fauteuil, et il alla vers son étager de livres, et il commença a chercher. Apres plusieurs minutes de recherche, il trouva un livre dans lequel toute les légende qui peuvent exister sur la terre, sont tous regrouper dans ce même livre, qui s’appelle. «  The légende » Alors, il se retourna s’assoir a son bureau et commença a le feuilleter tranquillement.


**************************************************************************************
Dans la base secrète



Dans le bureau de Jack, il était en train de discuter avec son chef d’équipe. Le commandant Anders, il avait écouter la conversation entre Jack et son amie. Il comprit que maintenant, il faut attendre. Au moment qu’ Anders, aller quitter le bureau, Jack, reprit la parole, car il aimerait savoir ce que Anna et Anders, font comme recherche.
- Au faite, qu’Est-ce que vous faite vous et Carta comme recherche ?
Demanda-t-il au Commandant Anders, qui s’arrêta dans élan et se retourna vers Jack pour lui répondre.
- Est ben, on fait des recherches sur internet pour trouver des lycée et collège qui aurait dans la ville de los Angeles. Pour ma part j’en ait trouvé 7, 5 collèges et 2 lycée. Et pour Anna, je ne sais pas si elle a trouver ou pas. Puis elle est moi on ira faire une visite dans chaque établissement pour essayer de se procurer des liste des élèves. Ainsi on trouvera peu être les deux sœurs avec de la chance.
Expliqua Anders à Jack.
- D’accord, bonne chance.
- Merci, on va en avoir besoin.
- Oui, surtout, qu’on est pas sur qu’elles soient ici, à los Angeles.
- Oui, je sais. Mais on a pas tellement le choix, c’est notre mission de les trouver.
- Oui, c’est vrai.
- Aller à tout à l’heure.
- A tout a l’heure.
Répondit Jack, en regardant le commandant Anders, qui quitta enfin le bureau. Et il se dirigea vers le bureau d’Anna Carta, histoire de prendre des nouvelle, mais part la même occasion de lui proposer d’allée avec lui, pour rendre une visite aux lycée pour avoir les liste des élèves. Cependant, comme le bureau de Carta, se trouve a l’opposer de celui de Jack, il arriva donc dix minutes plus tard. Lors qu’il arriva au bureau de la jeune femme, il vit que celle-ci était en train d’imprimée, d’après
lui, c’est sans doute les adresse des lycées.
Alors, ils donna deux trois coup à la porte de son bureau, une fois qu’il avait attirait l’attention de sa coéquipière, il pénétra dans la pièce et lui dit.
- Bonjour Anna, comment ça va?
Demanda-t-il à Carta.
- Bonjour mon Commandant, ça va bien et vous?
Répondit-elle à Anders.
- Moi, ça va bien. Alors, vous avez trouver des lycée ?
- Oui, d’ailleurs, j’en ait trouvé quatre et je vient à l’instant de les imprimait et les voici.
Dit-elle en donnant la fameuse liste au Commandant Anders, qui s’approcha de la jeune femme et prendre la liste.
- Et vous, mon commandant ? Vous en avez trouvez des lycée ?
- Oui, j’en ait trouver 7, donc, ça nous fait 11 lycée a visité.
Répondit-il à Anna, qui fut étonnée sur les parole du commandant Anders, alors elle prend la parole.
- Commença ? Ça nous fait 11 lycée a visité ?
Demanda-t-elle intriguer.
La jeune femme scientifique, ne savait pas que le commandant Anders, avait trouvée 7 lycée. Ils doivent aller voir 11 lycée, pour essayer d’avoir leur liste des élèves. Rien que pour les 11 établissement, ça va leur prendre toute la journée. Alors Anders prend la parole.
- Oui nous deux, pour avoir leur liste des élèves de chaque lycée, nous devront aller sur place. Enfin si vous êtes partante, surtout que c’est votre idée.
Expliqua-t-il à Carta.
- Oui c’est vrai et je suis partant pour venir avec vous.
- Parfait ! Alors préparez-vous , on y va tout suite.
- D’accord.
Puis le commandant Anders sort du bureau aller chercher sa veste. Pour carta, elle se leva et prend sa veste et les adresse des 11 lycées, et se dirigea vers l’ascenseur qui se trouve de l’autre coter du couloir et attend Anders.

**************************************************************************************

Quelques part
Voilà, maintenant, une semaine que les deux sœurs Collins ont été banni de leur ville d’enfance, celui qui est nommée Hardville. Les deux jeune adolescentes, ne savent pas où aller, elles décident de suivre le chemin. Elles sont toute les deux perdu, elles sont perdu également la confiance en elles, depuis qu’elles sont été éjecter de la ville, de ses propre habitants. Sur le coup, les deux filles, elle n’ont pas comprit le comportement de ses habitants. Elles ont tellement de questions, qui resteront probablement sans réponse, elles ont toute les deux, seuls en train de marcher ne sachant pas ou elles vont.

**************************************************************************************

A los Angeles

Dans l’agence de détective.


Dans le bureau de Daniel Millier, ce dernier, il était en train de lire un livre, il était a la recherche d’une légende ou d’une prophétie. Qui parlerait des deux sœurs et du vrai monde. D’ailleurs, il trouva enfin quelques chose, alors il se met tout de suite à lire. C’est à ce moment là, qu’il remarqua qu’il s’agit bien une prophétie. Il lis tout le texte jusqu’au bout et il dit à voix haute.
- Ho mon dieux… Jack, il avait raison.
Sachant tout cela, il comprit que c’est très sérieux , mais avant qu’il téléphone a son amie. Il décida tout d’abord prévenir David. Il doit tout lui dire, surtout avec ce qu’il vient découvrir à l’instant. Alors, sans perdre une seul seconde, il se leva très vite de son bureau, et se précipita hors de son bureau pour aller très vite vers celui de David. Il donna quelques coup a la porte de ce dernier, et il attend que celui-ci lui dit de rentrez.
- Oui entrez.
Dit-il a la personne qui se trouve de l’autre coter de la porte. Lorsqu’il venait de dire ça, la porte s’ouvrit très vite. Et c’est à ce moment là, que David, leva son regard vers l’entrez de son bureau. Il vit que cette personne, n’est qu’autre que Daniel Millier, il remarqua aussi qu’il a un bouquin en mains, et il comprit toute de suite qu’il lui montrez quelques chose qui semble très important. Pour qu’il le dérange ainsi est avec un livre, alors, il le regarda s’approcher et il l’écouta.
- Désoler de te déranger David, mais c’est tellement important et que sa ne peu vraiment pas attendre !
Dit-il a David et il posa le livre ouverte sur la prophétie qui concerne deux jeune sœurs. Il regarda alors David, qui prend le livre et il le regarda et non le lire, étant donnée que c’est écrit dans une langue ancienne. Donc, pour le moment, il y a que Daniel qui peut traduire.
- Qu’Est-ce que c’est ?
Demanda-t-il à Daniel.
- C’est une prophétie, qui est en train de se réaliser en ce moment même. Sa parle sur deux jeunes sœurs pas comme les autres, car l’une d’elle à une force surhumaine, elle se battre contre n’importe qui. Puis la deuxième sœurs, c’est une puissante sorcière. Et ce n’est pas tout, puisque le vrai monde est en train de se réveiller. Et il y a seulement que les deux sœurs, qui peuvent vaincre ou de repousser le mal.
Expliqua-t-il à David, qui croisa les bras. A ce moment là, il avait son regard très sérieux, étant donnée, qu’avec ce qu’il vient d’apprendre de la part de Daniel. Il comprit tout de suite que c’est du sérieux.
- D’accord, et c’est tout ce qu’ils disent ?
Demanda-t-il à Daniel.
- Oui, c’est tout et mon amie, il avait raison depuis le début, il ne s’était pas trompée.
Dit-il à David, qui haussa un sourcil, quand il écouta Daniel, qui lui parle d’une autre personne et qui aurait fait la même découverte.
- C’est quoi cette histoire ? Vous êtes deux a avoir fait la même découverte ?
- Heu en faite, tout a l’heure, lorsque j’étais dans mon bureau, l’un de mes amie m’a appeler, il s’appelle jack Jackson, il est comme moi un archéologue . Il a trouvé un parchemin qui est écrit une langue anciennes, il a réussi a le décrypter ce qui est écrit dessus. Et il m’a dit que sa parler de deux jeunes sœurs et que le vrai monde est en train de se réveiller. Et si m’a parler de ça au téléphone il m’a demander si j’aurait pas un livre ou autres sur cette histoire.
Dit-il a David, qui écouta très attentivement son amie, puis en voyant qu’il vient de finir de parler, il profita de cette occasion pour reprendre la parole.
- D’accord, j’ai comprit.est tu pense vraiment que c’est en train de se réaliser réellement ?
Demanda-t-il a Daniel, pour avoir la confirmation de tout ce qu’il est en train de lui expliquer.
- Oui, je le pense, et c’est vraiment très important.
- Donc, tu pense qu’il faut trouver les deux sœurs ?
- Oui, mais seulement il y a un hic.
- Lequel ?
- On ne sais pas a quoi elles ressemblent et on ne connait pas leurs nom, et surtout on ne sais même pas si elles sont ici, à Los Angeles.
Répondit a David, qui lui, se leva de son bureau et se dirigea vers sa veste et dit a Daniel.
- Si c’est très important que ça, alors il voudrais peut être mieux que je me mette a leur rechercher.
- Mais comment tu va les trouver on ne sais rien d’elles.
- Justement, comme tu a dit, ce n’est pas sur qu’elle soient dans cette ville, alors il suffit que je cherche dans toute la ville et voir si je ne trouverait pas deux jeunes sœurs, qui vienne part exemple d’arriver dans cette ville.
- La ville, elle est immense David, je doute que tu les trouvent d’un claquement de doigt.
- Je sais Daniel, mais si je ne fait rien, tu sais comment elle est los Angeles, c’est remplie de dangers pour elle, surtout la nuit. Alors, il voudrait mieux que je commence a les chercher maintenant.
- Tu a raison, il faut les trouver et de les mettre en sécurité.
- Bon va dire a Amy et a Paige quand elle se réveillera, de me chercher une villa.
Répondit-il a Daniel qui lui fut intriguer part la dernière phrase de David, alors il lui dit.
- Pourquoi faire une villa ?
Demanda-t-il a David, qui est en train de ce préparer pour sortir.
- Si j’ai demander d’avoir une villa, c’est pour les deux sœurs, car si je l’est trouve et que j’arrive a les mettre en confiance envers moi. Je ne vers pas les ramener ici a l’agence, alors avoir une villa c’est mieux, je pourrait mieux m’occuper d’elle.
Expliqua a Daniel.
- C’est une bonne idée, je vais aller voir Amy et de lui dire de faire des rechercher et je te souhaite bonne chance pour les trouver.
- Merci et dit lui aussi que des qu’elle trouve une villa, elles le décor et qu’elle met la clef sous un pot de fleur ou autres.
- Pas de problème, je leur dirait.
Puis sans perdre de temps, David et Daniel, sortent du bureau pour aller dans le grand hall de l’agence. Et le vampire sort de l’agence sans perdre une seconde et Daniel, il expliqua a Amy de ce qui est en train de se passée. Est comprennent tout a fait l’affaire, elle se mise tout de suite a aller sur internet et de trouver une belle villa.


**************************************************************************************

Le présent

Deux semaines plus tard.



Dans les rues de los Angeles, David se trouve toujours dans les rues a la recherches des deux sœurs, pour le moment, il n’a rien trouver. Et il se demander si les deux sœurs existe vraiment, alors qu’au bout de plusieurs jours de recherches sans résulta il retourna a son agence pour dire que ses recherches ne donner absolument rien du tout. A ce moment là, Daniel, il réfléchis quel endroit ou David pourrait les trouver a coup sur.
- Il faut trouver un endroit dans lequel les deux sœurs serait liée au parchemin, est là on sera que se sont elle.
Dit Daniel devant David et les deux jeune femmes qui travaillent dans l’agence. Puis le chef de l’agence se mire a réfléchir l’endroit ou le parchemin pourrait amener les deux sœurs. Et c’est a se moment là que Daniel, pense avoir trouver l’endroit idéale pour les deux sœurs en question.
- Le cimetière.
- Le cimetière ? Explique toi Daniel.
Demanda David, intriguer de ce qu’il venait d’entendre de la part de Daniel. Qui lui il regarda son patron et les deux filles, qui le regarda est attendez qu’il réponde, alors il dit.
- Je vais aller chercher le livre je revient.
- Daniel est ses livres, c’est pour quand le mariage ?
Répondit Paige en faisant de l’humour, est a ce moment là Daniel se retourna vers Paige est lui dit.
- Il n’y a pas de mariage.
- Ho quel dommage, j’aurais pas mes fromages.
Puis sans répondre a Paige, il se dirigea vers son bureau pour prendre le livre en question et revient vers l’accueille. Est, il commença a expliquer pourquoi il avait dit le cimetière.
- Pourquoi j’ai dit le cimetière, c’est en rapport avec le parchemin. Ils parlent du vrai monde et que seul deux sœurs pourront se battre pour le détruire, et je pense que le cimetière serait en liens entre les deux.
- Et tu crois que les deux sœurs vont rentre dans un cimetière pour le plaisir ?
- Non mais on ne sais jamais, je voie que ce genre d’endroit qui pourrait avoir un lien. Puisque l’une d’elle, a une force surhumaine et peut se battre contre n’importe qui et la deuxième une puissent sorcière.
Répondit Daniel à David, qui écouta attentivement et il dit.
- Attend tu veux dire, que l’une d’elle serait la tueuse et la deuxième une sorcière ?
- Oui, mais seulement, on ne sais pas qui est qui et je ne pense pas qu’elle soient au courant de ce qui leurs arrivent a toute les deux.
Pendant que David discuter avec Daniel, Paige qui avait participée a la conversation, elle décida de participée.
- J’ai une question, pourquoi elles iront dans un cimetière de notre ville, si elles ne sont pas d’ici ?
Demanda-t-elle a Daniel, qui écouta attentivement la jeune adolescente, puis il regarda le vampire et répond.
- Hé bien, elles peuvent êtres attirée part ce genre d’endroit, comme un genre d’appelle. Ce qui est tout à fait possible, comme le parchemin il dit, le vrai monde est en train de se réveiller. Alors je pense que le meilleurs endroit dans lequel tu pourra les trouver c’est dans un cimetière.
-D’accord, bon j’y vait, en espérant que tu a raison. En plus, la nuit est en train de tomber, elles peuvent être en danger, il faut que je me dépêche, si je les trouve je vous appelle de la villa.
- Ok pas de problème, bonne chance.
Répondit les amie de David, qui eux regardent leur chef quitter de nouveau l’agence, en espérant que ce coup ci il les trouvera.


*************************************************************************************


Du coter de l’équipe de surveillance, ils ont sur le terrain en train de chercher eux aussi les deux sœurs. Pour le moment ils n’ont pas trouvé les deux sœurs, même avec les liste des élèves dans de différance établissement, sa n’a rien donnée. Ils y avait beaucoup de sœurs, mais elles sont séparer chacune dans leur lycées, mais aucuns d’entre elles ne correspondent réellement au parchemin de Jack. Puisqu’elles sont toujours ensembles. Alors que la nuit est présent sur Los Angeles, l’équipe de surveillance, son en train de marcher dans les rues, ils regardèrent attentivement autour d’eux, en espérant qu’ils tomberont sur les deux sœurs. Ce qui serait un vrai miracle pour eux, puisque tout ce qu’ils ont fait jusqu’à maintenant sa n’a vraiment rien donner.

**************************************************************************************

A l’entrée de la ville


Les sœurs Collins, elles marchèrent toujours et ce, depuis 3 semaines. Bien sur elles faisait de temps en temps des pause pour se reposer et de manger et boire. Après 3 semaines de marche, elle arrivent dans une grande ville, qu’aucune d’elles ne connaissent. Elles continuent a marcher sans trop savoir ou exactement, elles laissent leurs jambes guider. Tout en regardant autour d’elles, elles remarquent qu’il y avait quelques personnes dans les rues, mais sans plus. Mais après un bon moment de marche dans los Angeles, les deux filles arrivèrent devant un cimetière, elles s’arrêta durant quelques minutes. Ne sachant pas pourquoi elles sont attirée devant le cimetière, alors, elles se regardant en silence, et Gwend ouvra la grille du cimetière, puis tout les deux entra dans le cimetière qui assez grand, en tout cas plus grand que celui d’Hardville.
Pendant qu’elles font leur balade entre les tombe du cimetière, David il arriva peut de temps après dans le même cimetière. Il faisait attention a ne faire aucuns bruit, au cas où, en restant silencieux, il commença a marcher dans le cimetière. Vue que c’est un vampire, il utilisa son pouvoir de super vitesse, mais dans le silence et fait son tour dans le cimetière. Puis c’est à ce moment là qu’il vit deux silhouette non loins de lui, et lorsqu’il regarda attentivement, il remarqua qu’ils s’agit de deux filles, est qu’en plus elles ne semble de ne pas être un habitant de los Angeles. Puisqu’elles ont tout les deux un sacs chacune, et Daniel il avait raison, il lui avait qu’il trouverait surement les deux sœurs dans un cimetière, surtout que c’est pas l’endroit idéale pour faire une rencontre. Alors, il décida de les observer durant quelques seconde puis il se dirigea dans leur direction. Mais pendant qu’il se dirigea vers les deux sœurs, l’une d’elle remarqua tout de suite qu’un homme était en train de se diriger vers elles, alors pour prévenir Bernadette, Gwen, elle lui donna quelques coup de coup a sont bras et lui montre l’homme qui s’approcha d’elles.
Lorsque l’ainée des Collins regarda en direction de l’homme, elle remarqua qu’il est habiller en noir.
Le grand manteau qu’il portait et même sa chevelure l’était. Il fit encore quelques mètres, et s'arrêta devant elles. C’est à ce moment là qu'elles firent la rencontre David, un vampire et qui a la réputation d'être un traître chez les vampires, mais pour d'autres, il l’on l‘appeler le mystérieux héros de la nuit. Alors que celui-ci il y avait pour mission de trouver deux jeunes filles en question, pour les protéger et aussi pour que l'une d'elle devienne une vrai tueuse et l'autre une puissante sorcière. Il prit la parole devant les deux sœurs.
- Bonsoir, mon nom est David.
Se présentât-il devant les deux filles.
A ce moment là, Gwendoline se dit tout en regardant David. ( Tien, c’est bizarre, ce nom me dit quelques chose…)
En effet, elle le connaissait que de réputation. Parce que dans la ville où vivaient les deux sœurs, avant de se faire chasser, Gwend fréquentait des gens pas très fréquentable. Sa sœur ne le savait pas que sa jeune sœur fréquentait des vampires. Soudain Gwendoline se rappela de se que l'uns des vampires lui avait dit sur cet homme, David «  La seul personne dont tu doit te méfier, c’est celui qui s’appelle David, si un jours tu le voie fait gaffe » Sur cette phrase qu’elle venait de se rappeler, Gwend décida de se méfier en le regardant d’un air méchant. Mais Bernadette, elle le regardait, et elle voyait bien que David, n’était pas méchant. Gwen, s'en moquer complètement qu'il soit gentil ou méchant, elle restera toujours sur son avis a elle, alors Gwend prit la parole.
- Toi, si tu ne part pas sale traître, je te tue !
Sous la remarque de sa sœur, Bernadette prit un regard d'étonnement de ce qu'elle venait d'entendre, et elle se dit. ( Hein !!! Mais elle est devenue complètement folle ou quoi pour lui dire ça? Et en plus on ne le connait même pas !)
Pendant ce temps, David, il les regarda toute les deux tout en se disant ( Tiens, on dirait que cette jeune fille connait quelques chose sur moi.) Alors, il décida de lui répondre.
- J'ignore pourquoi vous me dite ça, et surtout pour quel raison, mais sachez une chose, que si je suis là c'est pour une simple et unique raison, c'est pour vous aider c'est tout.
Sur ceux, David, regarda la réaction des deux jeunes sœurs, et soudain, il remarqua que la deuxième avait un regard étonné d'entendre ça. Parce que sans doute, que personnes ne les as jamais aidé. Et la fameuse personne qui sembler d''être étonné de ce qu'elle vient d’entendre, et en effet Bernadette, qui elle se dit ( Hé ben, je suis drôlement étonner que quelqu’un à décider de nous aider, et...et surtout pourquoi lui et pas un autre. Il doit avoir une raison a tout ça mais quoi? )
Alors Bernadette, lui dit.
- Tiens, tiens, comme c'est bizarre que tu veux nous aider, et je me demande bien pourquoi et surtout pour quel raison ? Mais sache que moi et ma sœur, nous sommes toujours débrouiller seul.
David, savait que sa tâche ne sera pas facile du tout, mais une chose qui est sur, c'est que David, il sait maintenant qu'elles ont toutes les deux des sœurs. Comme c‘était écrit dans le parchemin. Maintenant, il faut à tout prix qu'il trouve un moyen de les convaincre toute les deux, car le temps leur était compter si elles restaient seul sans défense dans cette ville.
Alors, il leur dit ceci.
- Je sais tout ça, car tout le monde dit ça. Dit-il en frottant les sourcils. Je ne sais pas ce que vous avez vécu toutes les deux, mais il serait temps que vous faisait confiance a quelqu’un non ?
Dit-il, en les regardant toutes les deux, qui se trouver en face de lui. Il remarqua que la deuxième sœur, Gwendoline, se dirigeait vers lui, et il vit aussi, qu’elle est rouge de colère. Lorsqu’elle fut assez prêt de David, elle ne put s’empêcher de lui mettre une claque. Puisque cette dernière, elle n’aime pas qu’on insiste, alors de colère, elle lui dit.
- On ta dit de dégager !!
Dit- elle méchamment.
Sur la claque que David venait de ce recevoir il ne se défendait même pas, car s’il le faisait il perdre la confiance, même s’il ne la pas encore obtenu.
- Mais…Bon d’accord, je vais partir. Mais part contre, je me demande si aller réussi a trouver un endroit pour passer la nuit, surtout dans un cimetière. Bon aller, je vous laissent, au revoir.
Dit-il aux deux sœurs, puis il commença a se retourner pour partir. Dans le silence, berna regarda autour d’elle et elle se dit ( sur ce coup là, il marque un point. Et en plus, il fait nuit et je me demande dans quel ville on est. ) puis en posent de nouveau son regard sur David, elle lui dit.
- Non, attend !!
Cria-t-elle. Et David, il s’arrêta net dans son élan et se retourna vers les deux filles. Et il les regarda pour voir qui l’une des deux venait a l’instant de l’interpeler.
- Moi, je veux bien te suivre et en plus, je voudrais savoir dans quel ville on est.
Dit-elle à David.
Sur ses mots, elle savait que sa sœur, aller vite réagir, c’est pour ça, qu’elle la regarda du coin de l’œil, et vit Gwendoline, qui était en train de lui faire des gros yeux. Cette-ci lui dit.
- Quoi ?! Attend-là, j’ai une sœur suicidaire ou quoi ?!!! Dit moi pourquoi tu veux suivre ce traitre de pacotille, petit sœurs?
Là, Bernadette, la regarda droit dans les yeux et elle lui dit avec fureur.
- Arrête de dire ça ! On ne le connait même pas et pourquoi tu dit que c’est un traitre ? !
Dit-elle à sa sœurs, Bernadette, se demanda bien pourquoi Gwen agis ainsi envers un inconnu. Alors que ni l’une ni l’autre ne le connaissent.
Pendant ce temps-là, David, il regarda les filles en train de discuter entrez-elles. Il avait les mains dans ses poches de son manteau, il remarqua que l’une d’elles commencer à s’énerver, bien sur, il entendit de quoi elles étaient en train de parler, mais il faisait mine de rien et regarda la scène. Pour le moment, il préféra de ne pas intervenir.
Mais durant ce temps là, aux alentour du cimetière, l’équipe de surveillance, ils continuer a marcher, toujours à la recherche des deux sœurs. Mais Carta, elle se trouver a coter du cimetière et vit qu’il y a du mouvement, alors elle dit a son équipe .
- Je croit qu’il y a du mouvement dans le cimetière.
Dit-elle a Anders et à Jack, tout les deux, intriguer ils s’approcha du mure du cimetière. Et ils vit qu’il y a deux jeux filles avec chacune un sac, mais elle étant pas seuls, il y a également un type avec elles. Alors regardant attentivement la fameuse scène des deux sœurs, et jack il prend la paroles.
- Je croit qu’on les a peut être trouvée, elles ne sont pas d’ici.
Anders écouta Jack et leur dit a sont tour.
- Géniale, on insiste a une dispute de sœurs, sa vaut le coup de regarder.
- je me demande sur quoi, elles sont en train de se disputait.
Dit jack, en regardant la scène des deux sœurs, et Anders, il tourne son regard vers Jack et lui dit.
- Tien, j’ai une idée, vous aller voir les deux filles et vous dite «  salut les filles ça va ? Voilà, je voudrait savoir si vous êtes deux sœurs, si oui, pourrait vous me dire sur quoi vous vous disputer ? » et là, vous aurait votre réponse.
Dit-il à Jack, qui lui dit.
- Oui est c’est aussi le meilleurs moyen de nous faire griller.
- On n’a qu’a prendre de la crème solaire, comme ça on sera pas griller.
Répondit-il
Puis il reprit sont sérieux et il prêta de nouveau son attention sur la scène.
Bernadette, marqua une courte pause et reprend avec une voix plus calme.
- Ecoute Gwen, je ne suis pas suicidaire pour nous jeter dans la gueule du loup. Il veut nous aider et moi, j’aimerait bien savoir pourquoi… maintenant essaye de réfléchie, pourquoi il fait sa… fait le pour une fois dans ta vie.
Dit-elle à sa jeune sœur.
Gwendoline, se trouva stupéfaite de voir sa sœur, qui lui parlait ainsi. Personne, n’a jamais osé de lui parler sur ce ton là, parce que a Hardville, tout les gens qu’elle connaissait, avaient tous peur d’elle. Alors, elle lui dit.
- Bon, c’est d’accord, on y va, parce que c’est toi. Et que tu sais ce que tu fait. Mais dit toi bien, que si jamais, il fait un truc de travers, je le tue.
Bernadette, sait que quoi qu’elle puisse lui dire, elle restera toujours sur son avis. Alors elle lui répond.
- J’ai comprit.
Répondit-elle a sa sœur.
Puis pendant que les deux sœurs marchent dans la direction de David. Bernadette se dit( merci Gwen de me faire confiance. ) puis une fois qu’elle s sont a la hauteur de David, comme berna veut savoir dans quelle ville elle sont, alors elle dit.
- Dit David, on est dans quel ville ?
Demanda-t-elle à David, qui les attendait les bras croisée et lui répond a sa question.
- Vous êtes à Los Angeles.
Répondit-il.
C’est alors qu’elles commencèrent a suivre David vers la sortie du cimetière et d’aller ensuite vers sa voiture. Qui est garer quelques mettre plus loins, cette fameuse voiture, est une décapotable de couleur verte. Ils marchèrent pendant dix minutes, puis David il fit monter les deux jeunes sœurs dans sa voiture. Pendant que les deux filles montent dans la voiture en question, l’équipe de surveillance se mirent a marcher, comme si rien n’était, ils se dirigent tout les trois vers la voiture de Jack. Et pendant qu’ils marchent, le commandant Anders, prend la parole.
- De mieux en mieux…Je me demande qui Est-ce type…
- Il suffit de les suivre comme ça, ça nous évitera de prendre racine.
Répondit Carta.
- C’est pas ce qu’on est en train de faire là ?
Répondit Anders a son tour.
- Si, car on se dirige même vers ma voiture pour les suivre.
Répondit Jack, pour finir.
Une fois qu’ils arrivent a la voiture de jack, tout les trois montèrent et jack mise le moteur en route. Puis il suive discrètement la voiture de David, qui lui se dirigea vers chez lui.




**************************************************************************************

A la villa


15 minutes plus tard, ils arrivent devant la maison de Davis, qui est une superbe villa. Bernadette, ne voulais pas en croire ses yeux, puisqu’elle en a jamais vue en vrai. Tendit que Gwendoline, elle n’est pas surprise, car ce n’est pas la première fois qu’elle en voie. Une fois que David coupa bien le moteur de sa décapotable. Lui et les deux fille descend de la voiture, et tout les trois se mirent face à face de la villa. Bernadette, resta clouer sur place, restant stupéfaite de voir une villa. Pendant que les deux sœurs, sont en train de regarder avec attention, David, lui, il alla vers l’entrée et il s’abaissa pour prendre une petite clef sous pot de fleurs. Puis il rejoint les filles et il se met a coter de Bernadette et leur demanda.
- Alors, comment vous la trouver ma villa ?
Demanda-t-il au deux sœurs.
- Elle est superbe.
Répondit Bernadette, qui regardait toujours la façade de la villa. Puis David, il posa la même question a la deuxièmes sœurs.
- Et toi… ?
A ce moment là, Bernadette, vient de se souvenir que David, ne connait pas leur prénoms a tout les deux. Alors, elle s’empressa d’intervenir pour lui dire comment elles s’appellent.
- Heu, désoler, on a pas dit comment on s’appelle. Alors voici ma sœur Gwendoline et moi c’est Bernadette.
Dit-elle a David.
- Merci. Alors, tu la trouve comment Gwen ?
Demanda-t-il en espérant qu’il recevra une bonne réponse de sa part.
- Pff. Elle est comme les autres.
Sous cette remarque, David, regarda Gwendoline avec désespoir. Et comme il voilais savoir pourquoi elle venait de dire « quel  est comme les autres » alors, il lui demanda.
- Alors, ça veut dire quoi pour toi, quel est comme les autre, Gwen ?
- Tu sait quoi ? J’en ait marre de tes questions à la question con ! Et d’abord qui ta dit que tu pouvais m’appeler ainsi.
Répondit-elle sur un ton énerver, tendit que le vampire, lui, il répond sur un ton toujours aussi calme.
- Personne. Mais se n’est pas une raison pour que tu me parle sur ce ton là.
Répondit-il.
Pendant ce temps-là, Bernadette, regarda la scène de sa sœur. Qui elle commença a en avoir marre de David et de ses questions. Ne préférant de ne pas intervenir pour le moment. Gwendoline pour sa part, elle savait que David avait raison.
- Ok. C’est, là tu vient de marquer un point. Mais juste un conseille ne m’appelle plus jamais Gwen, il y a que ma sœur, qui a le droit de m’appeler comme ça.
- D’accord. Alors, je répète ma question. Ça veut dire quoi pour toi, quelle est comme les autres ?
- Non !!! Mais ce n’est pas vrai !!! Je rêves ou quoi ? Combien de fois, vais-je me répéter ? Que pour moi ta villa, elle est comme les autres a point c’est tout !
Répondit-elle, qui commencer vraiment à s’énerver, et le pire, c’est qu’elle s’énerve pour rien.
David, ne sait plus quoi dire, tellement qu’il désespérer de voir Gwen, qui répondait ainsi. Alors tout en levant les yeux vers le ciel noir remplie d’étoiles, il se dit ( ok, on dirait que ça promait pour les jours a venir. ) pendant que silence s’installe entre les trois personne, Bernadette, se demanda pourquoi sa sœur est si agressive en vers David. Mais surtout pour quel raison, car elle connait très bien sa sœur, et elle sais également que lorsque Gwen s’énerve, se n’est jamais pour rien. Alors, elle décida d’intervenir entre les deux, parce que la tension qui se fait sentir, commença sérieusement à monter à une certaine limite, jusqu’à l’explosion.
- Heu… bon ce n’est pas tout. C’est très bien de regarder la façade de ta villa, qui est d’ailleurs, très jolie David. Mais, je trouve que sa serait mieux si on pouvait rentrez a l’intérieur non ?
Dit-elle a David.
- Oui pas de problème, comme je pourrait vous la faire visitée.
Répondit David a Bernadette.
Ce dernier, passe devant les deux sœurs Collins. Ils ouvra la porte et fit entre les deux sœurs en premier, dans sa villa. Pendant ce temps-là, il y avait également l’équipe surveillance, qui eux se sont garer a quelques mètre de la villa en question. Tout les trois se sont cacher derrière un buisson, et Jack, il s’amusa a prendre des photos des deux sœurs et de David, mais également de la demeure, et Anders il dit.
- Est-ce que, j’ai déjà dit que j’adore les surprises ?
Dit-il a son équipe, qui eux, regardent avec une grande attention la façade de la fameuse villa.
- Quelques chose me dit, qu’on va de surprise en surprise.
Répondit Carta.
- Moi aussi j’aime les surprises.
Dit Jack.
- Et on ne va pas s’ennuies.
- C’est justement pour ça, qu’on a une mission.
- Ha… parce qu’on avait un temps mort ?
- Oui.
- Ha bon ? Je ne l’avait pas remarquer.
- Mais, maintenant , on en a plus, puisqu’on a une mission.
Répondit Carta à Anders.
Puis en voyant que les deux sœurs se trouvent maintenant a l’intérieure de la maison. Et ne sont pas prête d’en ressortir, en tout cas pas pour le moment. Alors, tout les trois sortent du buisson, qui ne se trouver pas très loins de la villa, pour se diriger vers la voiture de Jack.
Dans la villa de David, celui-ci se mise entre les deux sœurs. Et à ce moment là, il vit que Bernadette, a un regard vraiment très surprise de ce qu’elle voyait.
- Waouh… comme c’est beau chez toi. C’est toi qui a tout fait ça ?
Dit-elle à David, qui lui prit un sourit et un aire sur de lui et répond.
- Oui, c’est bien moi , qui ait décorer tout ça.
- Hé bien, tu a fait du bon travaille.
Dit elle à David, qui commença a devenir un peu rouge, comme une tomate. Et au même moment, Gwendoline, regarder David, et remarqua qui rougies alors, elle lui lança.
- Hé David, ce n’est pas la peine de rougir comme ça.
- Je ne peux pas m’empêcher de rougir quand je reçoit des compliment, et à toi, ça ne te fait rien ?
- Pff.
Dit-il à Gwendoline, qui elle s’en foutait.
Bernadette, les regarda d’un air intimider.
- C’est bon vous deux, on pourrait peu être continuer la visite ?
Demanda-t-elle à Gwen et à David.
Gwen, se retourna vers sa sœur, et lui répond avec énervement.
- Bien sur qu’on peut continuer la visite, et surtout ne t’énerve pas !
- Désoler, mais là, je ne…
Bernadette, allait lui répliquer quelques chose, mais David, passe devant les deux. Toute les deux suivent David, qui monte en haut des escalier, pour leur faire voir leur chambres. Elles étaient superbes et Gwen, n’en revenait pas, et c’est la même chose pour sa sœur.

**************************************************************************************

Deux heures plus tard


Les filles Collins, n’ont pas vraiment bien manger, vue qu’elles étaient très fatiguer a cause de leur voyage. Mais maintenant, qu’elles ont quelqu’un pour s’occuper d’elles, elles peuvent enfin bien se reposer. D’ailleurs, dans la chambre de Gwen, cette est en train de faire sont lit, puisqu’elle voulez qu’une seul chose se coucher. Mais lorsqu’elle s’installa dans sont lit, soudain Bernadette, fit éruption dans sa chambre, tout en disant.
- Ça va Gwen ?
Demanda-t-elle a sa sœur.
- Oui, j’allais justement me coucher, lorsque tu est venue dans ma chambre.
- Ha… je suis désoler, mais je voulait te parler.
- Ok, ba vas-y je t’écoute et abrège s’il te plais.
Répondit elle a sa sœur.
Berna, se trouve dans l’encadrement de la porte de la chambre de Gwen. Pendant qu’elle s’avança doucement vers Gwen, elle trouve le comportement de sa sœur, vraiment très étrange depuis leur rencontre avec David. Comme si Gwen connait parfaitement David, et c’est pour sa, qu’elle se trouve dans sa chambre et qu’elle veux lui parler.
- Voilà, tout à l’heure, quand nous avons fait la connaissance de David. Tu a était agressive envers lui, pourquoi ?
Demanda-t-elle à Gwen,
- Je ne sais pas, mais tu sais que de temps en temps ça prend le dessus.
- Je sais. Mais quand tu lui a parler tu était très sérieuse, et j’avait l’impression que tu le connaissait.
- Non, tu te fait des idées, tu sais très bien que je parle toujours sérieuse aux gens que je ne connait pas. Et ça, sans réfléchir une seconde.
Dit elle a berna, qui s’assise doucement sur le lit de sa sœur.
Pendant que les deux sœurs Collins, sont en train de discuter ensembles, David, pour sa part il se trouve en bas dans le salon. Il profita de l’occasion pour qu’il téléphone a son agence, pour leur dire qu’il a trouver les deux sœurs et ce dans un cimetière, comme il penser Daniel. Il composa alors le numéro de sont bureau.
- Bonsoir, vous êtes bien chez David détective à votre service.
David, reconnue tout de suite la voix de Paige, alors il lui dit.
- Paige, c’est moi David.
- Ha, David ! Alors tu a trouver les deux sœurs ou pas encore ?
Demanda-t-elle a son chef.
Mais pendant que Paige, est en train de parler au téléphone avec David, Daniel, se trouve juste derrière Paige. Celui-ci veux participer a la conversation, alors, il décida de faire un peu peur a la jeune adolescente. Il s’approcha de la jeune femme et lui donne une tape dans son dos, et Paige qui ne s’attend pas du tout au genre de blague venant de la part de Daniel. Elle fit un sursaut et se retourna immédiatement, pour voir qui s’était, et c’est a ce moment là, que Daniel en profita pour appuyer sur le bouton du haut-parleur. Et David, ne se doutant de rien, il prend la parole pour répondre a Paige.
- Oui, je l’est ait bien trouver, d’ailleurs, elles étaient bien dans un cimetière, comme Daniel a dit. Et aussi elles sont bien deux sœurs.
- Je savait que c’était le seul endroit qui serait en rapport avec le parchemin.
Répondit Daniel, et c’est a ce moment là, que David remarqua que Paige avait mise le haut-parleur.
- Paige, c’est toi qui a mise le haut-parleur ?
- Non, c’est Daniel, et sinon elles s’appelles comment les deux sœurs ?
- Elles s’appelles, Bernadette et Gwendoline Collins. Et d’ailleurs, Gwen, elle a un sacret caractère.
- Ha bon ? Pourquoi ?
- Vue la façon, don elle me parle. J’ai même l’impression qu’elle sait quelques chose sur moi.
Expliqua David a ses deux amies.


**************************************************************************************

Dans la chambre de Gwendoline

Dans la chambre de Gwend, il y avait les rideaux fermée , et une douce lumière qui vient de la lampe de chevet, qui est poser sur une table de nuit a coter du lit. Et Bernadette se trouve toujours assise sur le lit et en train de parler, l’ainée des Collins fut heureuse de pouvoirs reparler avec Gwend, même si c’est loins d’être encore ça, mais c’est une question de temps.
- Mais tu est sur que tu ne me cache rien ?
- Oui, j’en suis sur, je ne te cache rien. Maintenant je peux dormir ?
- Oui, bien sur.
Et sans rien ajouter d’autre Bernadette se leva du lit et se dirigea vers la porte et se retourna vers Gwen, qui s’allongea et lui dit.
- Bonne nuit.
- Bonne nuit.
Et sans perdre de temps, Gwen, éteindre la lumière de sa chambre et Berna ferma sa porte. Et elle se dirigea tranquillement vers sa chambre, mais, elle s’arrêta brusquement, puisqu’elle entend la vois de David qui se trouver dans le couloir en bas des escalier, en train de parler avec quelqu’un. Sans faire de bruit elle s’approcha doucement vers les escalier et en arrivant vers le haut des marche, elle entendit que David, venait a l’instant de raccrocher. Alors, elle descendit doucement, mais lorsqu’elle arriva en bas des escaliers, David n’est plus là. Etant donnée, que celui-ci, il avait sentie surveiller, alors il se cacha et attend de voir qui c’est.
Il regarda la scène attentivement, et vit que c’était en fait, Bernadette, qui est en train de le chercher. Alors, il sortie de sa cachette et il lui dit.
- Tu me cherche ?
Demanda-t-il à la jeune adolescente.
Prit part surprise, Bernadette, fit un sursaut sur elle-même, et se retourna vers David et lui répond.
- Heu…Oui…
- Tu veux me parler ?
- Oui, pour ma sœur.
Répondit elle a David.
Qui celui-ci lui fait signe de la mains pour le suivre jusque dans le salon, pour discuter du comportement de Gwendoline. Une fois tout les deux assise sur le canapé, Bernadette, prit la parole.
- Tu sais, je suis désoler pour ce qu’elle ta dit …
- C’est rien…
- Il faut la comprendre… on arrivent dans une ville qu’on ne connait pas, et après on fait ta rencontre.
- Je peut le comprendre. Mais ta sœur, elle est comme ça avec tout le monde ?
- Oui. Enfin non, elle réagie comme ça, c’est envers les gens qu’on ne connait pas.
- D’accord, mais pour la claque ?
Demanda-t-il à Bernadette, qui eu un léger sourit au lèvres. Elle se leva du canapé et lui répond.
- Pour ça aussi, il ne faut pas lui en vouloir. Car, elle n’aime pas qu’on insiste.
- Si, j’ai insister, c’est que j’ai mes raisons, mais c’est surtout pour votre bien à tout les deux.
- Moi, j’ai plutôt l’impression, qu’il y a pas que ça. Un jours, je le découvrirais sur le pourquoi et pour quel raison, qu’on ait ici.
Dit-elle en regardant David, se lever a son tour du canapé et lui répond.
- Un jours, je vous le dirait, mais pour l’instant, il faut laisser le temps de nous bien se connaitre.
- Oui, bien sur… laissons nous le temps de nous connaitre.
Puis en voyant que Bernadette se dirigea vers les escalier, David, voulez savoir pourquoi elles se trouver dans le cimetière. Même s’il connait déjà la raison, mais il voulez savoir quelques chose, si elles savait pourquoi elles ont rentrez dans un cimetière qu’elles ne connaissent en aucun cas.
- Bernadette.
- Oui ?
- Dit-moi, pourquoi vous s’étiez dans le cimetière ?
Bernadette, ne sachant pas quoi répondre, car elle-même elle ne savait pas du tout pourquoi. Mais une chose qui est sur pour elle, c’est que cette endroit les attirée sans aucune raison. Alors, elle haussa les épaule et regarda David.
- Heu, je n’en ait aucune idée, on était attirée part cette endroit s’en aucune raison.
Répondit-elle, puis elle repris sa marche vers les escalier et David ajouta.
- Bonne nuit.
Et elle se retourna une dernière fois vers lui.
- Bonne nuit.
Puis elle monte pour aller dans sa chambre.
David, pour sa part, il resta encore un peut éveiller juste au cas où.
**************************************************************************************

Cinq jours ont passée, et Gwendoline, est devenue sympa avec David. Celui-ci, il avait inscrit les deux sœurs Collins, dans le même lycée que Paige.
Revenir en haut Aller en bas
Bernadette Collins

Bernadette Collins


Messages : 588
Date d'inscription : 17/02/2011
Age : 34
Localisation : Hardville

The Destiny of Collins Sisters ( épisode 2) Empty
MessageSujet: Re: The Destiny of Collins Sisters ( épisode 2)   The Destiny of Collins Sisters ( épisode 2) Icon_minitimeMer 25 Avr - 10:08

**************************************************************************************

A la base secrète



L’équipe de surveillance, ils se trouvent dans la salle de réunion. Ils doivent faire un résumer sur leur mission au général Devis, qui lui, leur demanda des nouvelle sur leur mission, si sa avance bien. Et si avec de la chances, ils auraient trouver les deux sœurs en questions. Comme, Jack avait prise des photos des deux sœurs avec l’homme qui sont avec les deux filles. Don, Jack, il transféra toute les photo sur sont ordinateur. Puis il les fait développer part un appareille spéciale pour les photo numériques. Une fois qu’il a tout les photos, il sont de son bureau, pour aller se rendre a la salle de réunion. Quelques minutes plus tard, Jack, arriva a la salle en questions, et il remarqua que le commandant Anders et Anna et aussi le général Devis. Ils ont tous là, ils étaient en train de l’attendre pour pouvoirs commencer, et maintenant qu’il est là, et qu’il s’assoie a sa place. Le générale prend la parole.
- Alors, Est-ce que votre mission avance ?
Demanda-t-il a toute l’équipe de surveillance, est Anders, prend la parole pour lui répondre.
- Oui on a avancée, puisque d’après notre amie Jack, on a trouver les deux sœurs en question.
- Ha, c’est une bonne nouvelle, et vous les as trouver où ?
Demanda le générale.
- Dans un cimetière, ce qui est très étrange, mais en plus, elles se trouver avec un étrange individu, qui les a ramener chez lui, qui est une très belle villa. D’ailleurs, Jack a prise des photo des deux sœurs et de l’homme en question.
Répondit Anders.
Il regarda Jack, qui se leva et se dirigea vers le général et lui donna tout les photos.
- Voilà, les deux sœurs et notre inconnu et sa villa.
- Superbe la villa.
- Oui, et on sais aussi que ce monsieur, il a inscrit les deux sœurs dans un lycée. Et c’est comme ça, qu’on a sut comment elles s’appellent.
Répondit Anna carta.
- Est elles s’appellent comment ?
Demanda-t-il à tout l’équipe.
- Elles s’appellent, Bernadette et Gwendoline Collins.
- Mais pour les avoir bien a l’œil, ont c’est également inscrit dans le même lycée. En tant que prof dans de différant matière.
Dit-elle au général.
- Et dans quel matière vous avait choisie ?
- Bien pour ma part, j’ai choisie les math.
- Pour moi c’est l’histoire.
- Et vous commandant Anders ? Vous avait choisie quoi ?
- Moi ? Et bien, j’ai choisie le sport. J’adore les faire courir, je sens que je vais bien m’amuser ! Et surtout que la rentrez c’est dans une semaine.
Répondit Anders, sur un ton amuser.
- Alors, c’est parfait. Comme ça la réunion est terminée, et on en fera une autre, d’ici un ou deux mois, selon votre observation sur les deux sœurs.
Dit-il a toute l’équipe.
Puis tout le monde se leva de leur fauteuil, et ils salua tous le général. Qui lui quitta la salle de réunion, pour aller rejoindre son bureau. Tendit, que l’équipe du commandant, ils discutent encore sur leur mission. Et surtout, comment ils pourront s’organiser pour les court, car la rentrez c’est dans une semaine a peine.


**************************************************************************************

Jour de la rentrez au lycée.


Aujourd’hui, c’est la rentrez pour les deux sœurs Collins. Bernadette, elle ne se trouver pas très joyeuse pour aller au lycée, car elle ne sais pas comment sa va se passer dans le lycée, tout comme pour Gwend. Mais elles n’on pas tellement le choix, elles sont encore des mineurs et elles ont maintenant un protecteur qui s’occupe d’elles. Cependant, comme il n’a pas le temps d’accompagniez les deux sœurs Collins, alors il avait téléphoner a son agence, pour demander a Daniel de venir a la villa avec Paige, puisqu’elles sont toute les trois dans le même lycée. Cependant, qu’il arrive a la villa, David, il en profita pour donner quelques conseille pour la rentrez. Histoire, qu’elles ne se face pas remarquer dès le premier jours.
- Je vous demande, de ne pas vous faire remarquer dès le premier jours, surtout toi Gwendoline.
Lorsque David venait de dire, Gwendoline, fit une grimace et lui répond.
- Hein ! Pourquoi, c’est toujours sur moi que sa tombe ? Ça commence à m’énerver ! Pourquoi ce n’est pas Bernadette pour une fois ?
Dit-elle en regardant leur protecteur.
Elle commencer a en avoir marre que David soit toujours sur elle et jamais sur sa sœur. Mais lorsque David regarda vers Bernadette, il remarqua que celle-ci est en train de rigoler. Alors, il dit au deux sœurs.
- C’est valable pour toute les deux comprit ?
Lorsque l’ainée écouta David, elle s’arrêta immédiatement de rire, et se fit au tour de Gwen de rigoler de sa sœur, qui d’ailleurs, n’hésite pas a lui dire.
- Tu t’écrase Gwen.
- Hé !!! J’ai le droit aussi de rigoler. Quand c’était pour moi, tu rigoler bien, alors, moi je fait pareille avec toi.
Dit-elle à Bernadette.
Pendant, que les deux sœurs se disputent, quelqu’un frappa a la porte de la villa. Et david ouvra la porte et vit que s’était Daniel, qui est venue chercher les deux sœurs. Est lorsque le protecteur se retourna vers les deux filles, il remarqua que Bernadette aller répliquer quelques chose a Gwend, mais il en fut plus rapide et leur dit.
- Stoppe tout les deux, et Bernadette tu te calme envers ta sœur. Bon, maintenant que Daniel est là, vous aller y allez, sinon vous allez être en retard en court.
Dit-il au deux jeune filles.
Lorsque David, passe devant les deux jeune adolescentes. Gwen en profita de faire une grimace dans le dos de ce dernier mais a Bernadette. Qui elle a se moment là, elle voulais la pincée, mais au meme moment où elle s’approcha de sa sœur. David se retourna vers elles, et Bernadette fait mine de rien et passa devant lui, suivit de sa jeune sœur. Elles sortent de la villa, pour monter dans la voiture de Daniel, et ils partirent tout les quatre en direction du lycée de los Angeles.

**************************************************************************************

Au lycée de los Angeles.


Une demi-heure plus tard, Daniel déposa les trois filles au lycée. Qui elles entra a l’intérieure du bâtiment, Paige, se trouver toujours avec les deux sœurs. Car, elle voulez présentait au deux sœurs a ses amie, d’ailleurs, elle leur avait dit qu’elle viendrait avec deux nouvelles. Dans les couloirs du lycée, il y a une foule d’étudiant, qui se balader et d’autres qui discutent entre eux. Mais loins devant elles, il y a la bande d’Wendy Summers, qui eux on t’aperçu les deux sœurs, mais surtout leur amie Paige. Alors, ils approcha doucement des trois adolescente pour les accueille, d’ailleurs, il n’y a pas qu’eux qui sont au courant de l’arrivée des deux sœurs. Tout le lycée le sont, mais personne ne va a leur rencontre, juste la bande de Wendy Summers, qui eux sont très sympa. La preuve, ils s’arrêta devant les trois filles et Paige prend la parole pour leur dire bonjours.
- Bonjours les copains comment allez vous ?
Demanda-t-elle a ses amie, puis Wendy lui répond.
- Très bien et toi ?
- Oui très bien également.
Puis Wendy regarda les deux sœurs et leur fait un sourit amical et leur adressa la parole.
- Bonjours les filles, alors c’est vous les nouvelle dans le lycée ?
Demanda-t-elle au deux sœurs, et sachant que Gwend ne prendra pas la parole, c’est Bernadette qui prend la parole.
- Bonjour, oui c’est bien ça…a ce que je voie les nouvelle vont vite.
Répondit-elle a Wendy, puis Paige reprend la parole pour dire a Bernadette.
- Oui, je suis désoler, c’est moi qui est prévenue mes amie de votre arriver.
Bernadette écouta Paige, et ne lui répond pas et regarda Wendy, qui reprend la parole pour se présenter au deux sœurs.
- Oui, mais tout le lycée est au courant, ce genre de nouvelle sa circule assez vite. Donc, moi je m’appelle Wendy Summers et voici mes amies. Mike Harrison, Alyse Dorson, Harry Anderson, Elly Morriton. Samantha Blake et Paige que vous connaissez. Je pense que j’ai oublier personne ?
Demanda-t-elle a ses amie, qui eux firent d’un signe de la tête non. Bernadette et Gwendoline, toute les deux sont surprise de cette accueille. L’ainée des deux sœurs, les regarda d’un air étonner, puis elle regarda sa sœurs, durant quelques seconde avant de prêter de nouveau son attention sur Wendy et ses amie tout en disant a sa jeune sœurs.
- Heu…je croit que nous avons sauter un chapitre toute les deux.
- Oui, on dirait.
- Heu…c’est très gentil de votre part de vous êtes présenter…on va faire de même alors. Salut, moi c’est Bernadette et voici ma sœur Gwendoline Collins.
Dit-elle a la bande de la blonde.
Sur les mots de sa sœur, Gwend alla a l’oreille de sa sœurs pour lui chuchoter.
- Je te laisse avec eux.
- Ok c’est comme tu veux.
Répondit-elle.
Puis l’ainée regarda Gwendoline, qui s’éloigna en laissant Bernadette avec ses nouveau amie. Lorsque la bande regarda tous Gwendoline partir, Mike Harrison, fut surprise, et il se demanda si c’était eux qui lui faisait peur alors il demanda a Bernadette.
- Hé ben…on a fait peur a ta sœur ou quoi ?
Demanda-t-il a l’ainée, qui elle le regarda est afficha un léger sourit et lui répond.
- Non pas du tout, elle est comme ça, elle n’aime pas tellement les gens qui vient vers nous comme ça. Mais c’est rien sa va lui passée., il faut lui laissée du temps.
Répondit elle a ses nouveau amie.
Pendant que l’aînée se trouve en train de faire connaissances avec ses nouveau amie. Du coter de Gwen, elle fit la rencontre de Rick Kent, Anna Lang, Clara Sullivan. Et la sonnerie du lycée retentie, ainsi les deux sœurs se rejoint pour aller vers la classe. Durant qu’elles prennent le temps pour arrivée, Bernadette en profita pour discuter avec sa jeune sœurs.
- Alors, Gwen, tu tes fait des amie où tu a voulu restée une fois de plus toute seul ?
- Non, je me suis fait des amies.
- Cool, je suis contente pour toi, essaye de les gardes, ne l’est fait pas fuir.
- Pff…merci quand-même…
- Mais de rien petite sœur
Après cette brève conversation, les filles Collins entrent dans une classe, celui d’un prof de français. D’ailleurs, sur le tableau, il y a un nom écrit en grand Mr, James-Spike, le prof se trouve derrière son bureau en train de préparer le cour de la rentrez. Mais il regarda de temps a autres tout les élèves qui sont rentrez dans sa classe et qu’ils attendait, et c’est a ce moment là que son regard se posa vers Gwendoline Collins. Cependant, Bernadette se trouver juste a coter de Gwen, et elle regarder comment le prof était en train de regarder sa sœur, alors, pour Bernadette, c’est une occasion pour embêter sa jeune sœur.
- Hey, tu a vue Gwen, comment le prof ta regarder ? Je croit que tu a une touche avec le prof de français.
Dit-elle à Gwen, qui lui répond vite.
- La ferme tu dit n’importe quoi.
- Allez, ne soit pas timide.
Après la remarque de sa sœur, Gwendoline, est devenue toute rouge. Comme si elle aller exploser.
Alors que James-Spike est finit de préparer sont cour d’aujourd’hui, il commença a placer tout les élèves a leur place, puis se fut au tour des sœurs Collins. Et comme part hasard, il met Gwendoline, devant son bureau, pour qu’elle soit en face de lui et il met Bernadette juste derrière sa sœur. A ce moment là, Bernadette en profita pour lui dire.
- Alors, Gwen, on est amoureuse ?
- Alors là, tu va trop loins, je vais te…
- Asseyez-vous, nous allons commencer le cour.
Dit, James-Spike, en coupant la parole de Gwendoline.
Pendant ce temps, l’ainée des Collins, était en train de rigoler de la situation de sa sœur, alors elle en profite pour l’embêter encore une fois.
- Alors Gwen, ont est heureuse d’êtres devant son prof préférer ?
Là, pour Gwen, c’est une phrase de trop, alors, la jeune Collins, se leva brusquement pour aller voir Bernadette. Mais hélas, le prof l’arrêta en disant ceci.
- Mademoiselle Gwendoline, asseyez-vous s’il vous plais.
Gwend se retourna vers le prof, et sans rien dire, elle retourne s’assoir a sa place. Elle jeta un rapide coup d’œil vers sa sœur, qui rigolait toujours. James-Spike, regarda tous les élèves de sa classe, et son regarde s’arrêta sur une jeune fille, qui semble avoir vraiment le fou rire. Alors, il prend la parole
- On ne vous dérange pas mademoiselle Bernadette ?
Demanda-t-il a l’ainée des Collins.
Bernadette, lorsqu’elle entendit son nom, elle s’arrêta immédiatement de rire et regarda a son tour tous les élèves
de la classe. Tout en sachant que c’était bien a elle, que le prof parlait.
- Heu…c’est à moi que vous parler ?Et pas a quelqu’un d’autre ?
- Non, c’est bien a vous que je parle.
- Ha bon ok. Alors non, vous ne me déranger pas du tout.
- Je pourrait savoir pourquoi ce fou rire ?
Demanda James-Spike, en se mettant devant son bureau en croisant les bras.
Bernadette, regarda le prof et lui répond.
- Heu, je croit que je n’est pas comprit votre question.
- Ok. Alors, je vais la reformuler autrement. Alors, pourquoi ce fou rire ? Est-ce à causse de quelqu’un de la classe ? Comme part exemple moi où bien quelques chose que j’aurait dit dans mon court, qui vous aurait fait rire ?
- Heu, non, ce n’est pas votre court, car j’adore le court de français.
- Vous n’avait pas répondu a ma question.
- Ha bon ? Je suis vraiment obliger de répondre a votre question ?
Dit-elle, en regardant sont prof droit dans les yeux, et qui répond a son tour.
- Répondait s’il vous plais.
Dit-il , en se forcent de rester très calme, car il sent qu’il va bientôt c’est énerver.
- Heu, ce fou rire ? Et bien, je ne sais pas, car je vient d’être victime d’un trou de mémoire. C’est bête hein ?
Soudain, tout les élèves se turent sur ce que Bernadette venait de dire. Les élèves de la classe, ils sont tous un regard étonner et ils regardèrent avec attention la scène entre le prof et Bernadette. D’ailleurs, James-Spike, s’approcha vers Bernadette et lui dit.
- D’accord, alors donner-moi votre carnet de correspondance Bernadette. Je vais vous mettre une punition. Vous me copierez 100 fois «  je ne doit pas rigoler en classe. » pourquoi ? Et bien, je ne sais pas, car je viens d’être aussi victime d’un trou de mémoire. C’est bête hein ?
Avec ce qu’il vient de dire a Bernadette, celle-ci entra dans une rage folle. Et avec fureur, elle donna un coup violent sur sa table et regarda assez méchant le prof et lui dit.
- Pourquoi 100 fois ? Je n’est rien fait de mal ! Mise a part rigoler !! Si ce n’est que ça, alors c’est vraiment débile !
- Ok, c’est débile, alors, ça ne sera pas 100 fois, mais 200 fois et pour demain.
Là, Bernadette se leva de sa chaise et dit.
- Alors là, si vous croyez que je vais le faire ? Je pense que vous vous trompez. Car, je ne vais pas le faire.
Répondit-elle au prof de français.
Mais sans le savoir, le prof est en train d’écrit un mot sur un papier. Et il se dirigea vers une jeune fille rousse et il répondit a Bernadette, tout en restant calme.
- Très bien, vous ne voulait pas le faire. Ce n’est pas grave, car mademoiselle Dorson, va vous conduire jusqu’au bureau du proviseur , et vous vous expliquerait avec le proviseur.
Dit-il en donnant le fameux mot a Alyse, et les deux jeunes adolescente sortent de la classe.
On peut dire que pour le premier jour de la rentrez, elle a fait fort.


**************************************************************************************

Au bureau du proviseur

Quelques minutes plus tard, les deux jeunes filles, arrivent devant la porte du bureau du proviseur Max Luke. Ce dernier, il était en train de regarder chaque dossier de tout les élèves, ça va lui prendre au moins quelques jours. Pour connaitre tout les élèves de son lycée, alors qu’il ouvra un dossier, il tomba sur les deux sœurs Collins. La première, c’est Gwendoline Collins, et juste derrière, il y a Bernadette Collins. Mais il fut déranger part des frappement a sa port de son bureau.
Toc-toc-toc.
- Entrez.
Dit-il assez fort, tout en refermant le dossier.
Puis il se leva vers sa fenêtre et attend que la personne rentre, d’ailleurs, les deux filles pénétra dans le bureau. Alyse referma la porte et se plaça a coter de l’ainée des Collins, toute les deux regardent le proviseur. Il est habiller en costume noir et il est chauve, et ses yeux son noir. Il resta quelques minute a regarder part la fenêtre, et il se retourna vers les deux jeunes adolescentes, qui se tenaient devant son bureau et qui attendez. Et c’est à ce moment-là, qu’il reconnu immédiatement Alyse Dorson.
- Bonjour mademoiselle Dorson. Comment aller-vous ?
- Très bien merci.
Puis il regarda la deuxième fille, qui se tenait juste a coter d’Alyse, et il reconnue que c’était l’ainée des Collins, Bernadette. D’ailleurs, il se demanda se qu’elles faisait là, mais il regarda Alyse, qui va prendre la parole pour lui expliquer sur le sujet de leur venue dans ce bureau.
- Si, nous sommes ici, c’est en fait pour vous ramener Bernadette Collins.
- Et, je pourrais savoir pour quel raison ?
Demanda le proviseur à Alyse.
Ce dernier, remarqua assez vite qu’Alyse, tien une petite feuille plier entre ses mains.
- C’est le prof de français, monsieur James-Spike. Il vous a fait un mot tenez.
Elle donna le mot en question au proviseur, qui le prend et le lis immédiatement sans perdre une seconde. Quelques minute plus tard, il regarda Alyse et lui dit.
- Merci mademoiselle Dorson. Vous pouvait retournez en court et dite a monsieur James-Spike, que je vais m’en occuper toute de suite.
- Monsieur, je peux…
- Retourner en cour Mademoiselle Dorson.
Dit-il en coupant la parole à Alyse.
Cette dernière, voulais rester avec Bernadette, mais comme le proviseur insista pour qu’elle retourne en classe. Elle avait comprit que ce n’était pas la peine d’insister plus longtemps. Alors, elle se dirigea vers la porte, mais avant de refermer complètement derrière elle. Elle jeta un rapide coup d’œil a Bernadette, puis elle disparut, lorsqu’ils furent enfin seul dans le bureau, le proviseur prend la parole.
- Vous pouvais vous assoir mademoiselle Collins.
Dit-il en lui montrant la chaise libre en face de sont bureau, en silence elle obéit et croise les bras prêt de sa poitrine et regarda le proviseur. Le proviseur regard attentivement Bernadette et reprend la parole, pour ce coup ci ce présenter.
- Je me présent, je suis Max Luke. Je suis le proviseur de ce lycée. Et je croit que vous êtes nouvelle dans cette établissement, n’Est-ce pas?
- Oui et alors ?
- Et alors ? C’est que c’est votre premier jours dans notre lycée, on peut dire que vous avez fait fort. Vous vous faite déjà bien remarquer mademoiselle Collins.
Dit-il a Bernadette, qui va vite prendre la parole pour prendre sa défense.
- Oui, c’est vrai. Mais là, je trouve que ce prof va…
- Je ne veux pas le savoir. Vous n’avait aucun droit de parler comme vous l’avait fait avec James-Spike.
Dit-il en coupant la parole a Bernadette.
Qui d’ailleurs décida de faire semblant de l’écouter.
- Si, vous ne voulez pas avoir de problèmes, à votre place je ferait ce que le prof me demande. Et je ferait en sorte de ne plus me faire remarquer, comme vous l’avait fait. Donc, vous aller faire cette punition et on n’oublie de ce qui c’est passer d’accord ?
Dit-il en regardant Bernadette, qui est en train de regardait quelques tableaux qui sont accrocher sur le mure.
- Mais si jamais, vous continuer à vous faire remarquer ainsi, Sacher que je suis là. Et que je pourrait vous faire virée a tout moment, ou tout simplement convoquer la personne qui s’occupe de vous.
Lorsqu’il lui adressa la parole, il avait regarder Bernadette, et c’est a ce moment là, qu’il remarqua assez vite que celle-ci ne faisait aucunement attention au parole du proviseur.
- Bernadette vous m’écouter quand je vous parle ?
Cette dernière, se trouver en train de regarder ailleurs, mais lorsqu’elle s’aperçut que le proviseur venait d’arrêter de parler. Elle lui prêta soudainement son attention comme si rien n’était et lui dit.
- Ha c’est bon vous avez finit votre jolie discours à la noix de coco ? Car, j’ai eu le temps de dormir et si sa ne vous dérange pas, je retourne en court.
Répondit-elle au proviseur.
Sans laisser le temps au proviseur de lui répondre, elle se dirigea assez vite vers la porte du bureau . Mais au même moment où elle appuya sur la poignet de la porte, le proviseur lui lança.
- Je croit que vous avait une sœur non ?
Demanda-t-il à Bernadette.
Lorsque l’adolescente écouta la dernière phrase du proviseur, ça eu un effet sur elle, étant donnée, qu’elle n’aime pas qu’on parle de sa sœur comme il vient de faire à l’instant. Alors, elle relâcha la poignet de la porte et se retourna pour se dirigea a nouveau vers le proviseur et lui dit.
- Et alors ? Ça vous dérange autant que ça ? D’ailleurs je me demande bien pourquoi cette question. Non, en faite, je ne préfère même pas le savoir.
Dit-elle en le regardant droit dans les yeux du proviseur.
Elle s’appuya sur le bureau de Max Luke, tout en rajoutant ceci, sans jamais le quitter des yeux.
- Mais sachez une chose. Que si jamais j’apprend quelque chose de la part de ma sœur où quoi que se soit. Sachez, que je ne serait pas loin, alors faite gaffe à ce que vous faite.
Dit-elle très sérieusement en le fixant droit dans les yeux.
Mais ce dernier, ne semblait pas du tout impressionner devant les paroles de Bernadette. Puisqu’il avait l’impression que cette dernière sembler avoir oublier de qui elle a en face d’elle. Alors, sans la quitter non plus des yeux, il lui répond.
- Est-ce des menaces ?
- Prenait-ça comme vous le voulez.
- On dirait, que vous avait oublier que je suis le proviseur de ce lycée. Donc, vous ne m’impressionner pas du tout de vos menaces.
- Mais vous non plus, vous ne m’impressionner pas chère monsieur le proviseur.
- Retournait en cour, je doit téléphoner chez vous.
- Facile de ce cacher derrière un téléphone.
- Retourner en court mademoiselle.
- Vous ne me faite pas peur.
Répondit-elle a Max Luke.
Puis elle se dirige vers la porte et sort du bureau tout en claquant la porte derrière elle. En silence elle se dirigea vers sa classe. Durant ce temps, Max Luke, est en train de réfléchir, s’il doit téléphoner ou pas. Pour l’aider dans son choix, il ouvra a nouveau le dossier qui concerne les sœurs Collins, il lis attentivement et trouva l’adresse du domicile du protecteur des deux sœurs. Il nota l’adresse sur un bout de feuille et l’arracha et le met dans sa poche de sa veste de son costume noir. Puis, il se mire a chercher l’emplois du temps des filles Collins, comme ça, vers la fin de la journée, il ira chez elles pour parler avec le protecteur au sujet du comportement de l’ainée des Collins.


**************************************************************************************

Une heure plus tard

En court de français


Le cour de français se termina, et tous les élèves range leur affaire pour quitter la classe. Le prof, James-Spike, il se trouve a l’entrez de la classe, il c’est mise là, pou empêcher Bernadette de partir, car il voulez lui parler seul, lorsqu’il n’y aurait plus personne. Puis lorsqu’il vit l’ainée des Collins qui se dirigea a son tour vers la sortie de la classe, il attrapa le bras de l’adolescent et l’éloigna un peut de la porte. Puis au moment qu’il vit qu’ils sont enfin seul, personne pour écouter leur petite conversation, il prend la parole, tout en regardant l’ainée droit dans les yeux.
- Je vous donne la punition, que vous me ferait pour demain. Mais si jamais ce n’est pas fait, vous me le ferait en heure de colle et je vous surveillerait personnellement.
Dit-il a Bernadette, tout en lui donnant la fameuse punition de 200 fois a faire.
Il regarda l’adolescente, qui eu un petit sourit narquois sur les lèvres, cette dernière prend la punition en question, et elle lui répondit.
- Ho comme c’est touchant, arrêter vous aller me faire pleurée.
- vous me le ferait pour demain.
- Et puis quoi encore ? Vous rêvés je croit.
- Pour être sur, que vous n’aller pas oublier, je téléphonerait chez vous.
- Allez-y, vous ne me faite vraiment pas peur. Et si vous avez envie de passer votre vie au téléphone, ne vous gênez surtout pas.
Dit-elle en le regardant droit dans les yeux, a ce moment là, on peut voir qu’elle n’a pas froid au yeux. Elle n’a vraiment pas peur de parlait ainsi envers un adulte, surtout envers un prof ou d’un proviseur. Mais lorsqu’elle est en train de discuter avec le prof, elle sentie une drôle de sensation lui envahie a nouveau sont Corp. Le cœurs qui se mire a battre la chamade, les mains et jambes, se mire eux aussi a trembler, exactement pareille, lorsqu’elle c’est trouver dans le cimetière d’ Hardville. Dans l’instant, elle ne laissa rien apparait, est reste le plus calmement possible.
- J’ai été assez claire ?
- Tellement claire que je ne le ferait pas. Ça aussi c’est claire.
Sur ses mots, elle sort immédiatement de la classe, pour allait rejoindre sa jeune sœur et ses nouveau amies.


**************************************************************************************


Dans la salle de Sport


Vu que c’est le début de la rentrez, en sport, les élèves peuvent un peut ce défouler, comme ils le veulent. D’ailleurs, Bernadette, se trouve en train de faire sa folle avec Gwen. Le prof s’appelle le commandant Anders, il est en mission d’infiltration, avec son reste de l’équipe. Ils doivent surveiller discrètement les deux sœurs Collins, vu qu’ils les ont trouver dans un cimetière et en plus avec un inconnue. Il y a vraiment de quoi a se posée des question sur les deux sœurs, maintenant qu’ils savent comment elles s’appellent, ils doivent les surveiller et de découvrirent qui elles sont en réalité. Leurs mission sera longue, et heureusement qu’ils sont habituer a avoir des mission qu’ils soient longue, mais celui-ci dépassera sans doute, toute les missions qu’ils ont eu jusqu’à maintenant. Alors, qu’il a le dos tourner, Bernadette dit a sa sœur.
- Hé Gwen, regard ma super pirouette.
- Bravo !
La félicita Gwen.
- Maintenant a moi, regarde bien ma super pirouette.
Bernadette, regarda attentivement Gwendoline, qui est en train de commencer à faire sa pirouette. Mais malheureusement, elle le rata et tombe a terre, lorsque Bernadette regarda comment Gwen est tomber. Elle éclata immédiatement de rire, entre deux rire, elle lui demanda.
- Sa fait mal ?
Dit Bernadette, qui venait d’attrapée un fou rire, en regardant sa sœur, cette dernière lui répondit.
- Ben oui sa fait mal, surtout sur le sol.
- Bizarre, je n’ait rien ressentie.
- Vas-y rigole.
- Ben, je ne vais pas pleurer, parce que ma chère petit sœur est tomber en voulant faire la pirouette.
Pendant que Bernadette a le fou rire et laissant sa sœur par terre, le prof de sport, pour lui, il avait vu la scène des deux sœurs Collins. Il avait vue, comment Bernadette se défouler en faisant sa petite fofolle et a peine quelques minute plus tard, Gwen voulait faire la même chose, mais elle rata sa pirouette. Alors, il décida d’aller les voir, lorsqu’il arriva a la hauteur de Gwen, il lui tendit la mains pour l’aidée a se relever et lui demanda.
- Rien de cassée ?
Demanda-t-il a Gwendoline.
Qui celle-ci prend sa mains et se releva et répond.
- Non, ça va merci.
Dit-elle au prof.
Et pendant ce temps-là, l’ainée, a toujours le fou rire, et c’Est-ce qui attira l’attention du commandant Anders. Qui ne trouve pas sa très marrant, car elle aurait put se faire très mal en ratant la pirouette, surtout sur le sole, puisqu’elle n’avait pas prise de tapie pour amortie le choque.
- Hé, berna arrête de rire, ce n’est pas marrant.
- Désoler. Mais ce n’est pas de ma faute, c’est a causse de la façon, don tu est tombée, qui ma fait éclater de rire.
Répondit-elle a Gwen, et devant le prof de sport.
Qui d’ailleurs prend la parole entre les deux sœurs.
- Vous savait que pour faire des pirouette, il y a des tapis exprès pour ça. Ils ont là-bas juste a coter de la porte.
Dit-il au deux filles.
Lorsqu’il leur montra la direction de la porte, Gwendoline, elle se retourna vers la fameuse porte et vit qu’il y avait en effet des tapis, comme l’avait Anders. Alors elle se retourna a nouveau vers le commandant Anders et elle lui dit avec un léger sourit.
- Désoler…
- Ce n’est pas graves, vous le savait pour la prochaine fois. Allez venait, je vais vous expliquer ce qu’on va faire.
Dit-il au deux filles Collins, qui elles le suivent immédiatement.

Revenir en haut Aller en bas
Bernadette Collins

Bernadette Collins


Messages : 588
Date d'inscription : 17/02/2011
Age : 34
Localisation : Hardville

The Destiny of Collins Sisters ( épisode 2) Empty
MessageSujet: Re: The Destiny of Collins Sisters ( épisode 2)   The Destiny of Collins Sisters ( épisode 2) Icon_minitimeMer 25 Avr - 10:08

**************************************************************************************

Il est 17 heures 30, la journée se termine pour les deux sœurs, puisqu’elles sortent du lycée. Et tout en prennent bien leurs temps, elles se dirigea vers la villa de leur protecteur, qui n’est autre que David.
Pendant que les filles Collins sont sur le chemin de la villa, chez le protecteur, celui-ci, il a reçut un coup de téléphone de la part d’un prof de français, un nommée James-Spike. Celui-ci, avait tenu sa parole, qu’il téléphonerait chez le protecteur pour lui annoncée que Bernadette Collins a eu du répondent envers le prof et qu’il a du envoyer la jeune fille au bureau du proviseur. Car celle-ci refuse de faire la punition qui lui a donnée, et que part moment elle se payer un peu sa tête, et part la mêmes occasion elle doit arrêter de se faire remarquer comme elle vient de faire, dès le premier jours de la rentrez.
Alors, David lui rassura qu’il va s’en occupée dès qu’elle rentrera et aussi qu’il s’assurera qu’elle fera bien la punition. Et comme ci, ce n’est pas suffisant, vers 17 heure 20, avant que les filles ne rentrent du lycée, il entendit la sonnette de la villa, vue qu’il n’attendez vraiment personne, juste les deux filles. Alors, qu’il se trouver le dos appuyer contre le mur dans le hall d’entrée, il se demanda qui sa pouvais êtres. Donc, il alla ouvrit à la personne qui venait à l’instant de sonner. Lorsqu’il ouvra la porte, il vit un homme habillée en noir et chauve et en costume, à ce moment précise, il ne se douter pas un seul instant que sa serait le proviseur Max Luke. Qui a décider de ce déplacer en personne, pour discuter au calme avec le protecteur, du comportement de l’ainée des Collins. Alors David lui adressa la parole.
- Bonsoir, je peut vous aidée ?
Demanda-t-il à l’homme qui se trouva devant lui.
Celui-ci, il est en train de regardait dans les alentour de la villa, donc il avait le dos tournée au protecteur. Mais lorsqu’il entendit la personne lui parler, alors il se retourna immédiatement vers David pour lui répondre.
- Bonsoir monsieur, vous êtes bien la personne qui s’occuper les deux sœurs Collins ?
- Oui c’est effectivement moi, et vous êtes ?
- Je me présente, je m’appelle Max Luke, je suis le proviseur du lycée dans lequel vous avait inscrite les sœurs Collins.
Se présenta-t-il a David, en lui tendit la mains pour le saluer.
David sans perdre de temps, il lui serre la mains et il lui demanda.
- Et que puis-je pour vous ?
- Et bien, si je suis venue, jusqu’ici, c’est pour vous parler de Bernadette.
Expliqua-t-il a David.
- Allez-y entrée.
Répondit-il en s’écartent un peu du passage pour faire rentrer le proviseur.
Lorsque ce dernier, pénétra dans la villa, David en profita pour regarder au alentour. Pour voir s’il pouvais voir les filles arrivée, pour l’instant, il ne vit aucunes des deux filles. Mais au moment ou il voulait refermer la porte, son regard s’arrêta net sur une belle voiture, qui n’est qu’autre qu’une porche de couleur gris métalliser. D’ailleurs la voiture doit surement appartenir a Max Luke. Alors, il ferma la porte et alla rejoindre le proviseur, qui se trouve dans le salon, tout en se dirigeant vers lui, David prend la parole.
- Je vous écoute.
Dit-il en s’asseyant sur le canapé.
Le proviseur se retourna et alla a sont tour s’assoir en face du protecteur tout en disant.
- Vous avait une très belle villa.
- Merci, mais s’il vous plais venait en au fait.
Demanda-t-il gentiment au proviseur.
- Oui bien sur. Alors, voilà, ce matin j’ai reçu Bernadette dans mon bureau, pour motif répondre au prof et aussi qu’elle ne fera pas la fameuse punition que le prof de français lui a donner a faire. J’ai essayer de lui faire comprendre calmement, mais en vains.
Commença-t-il a expliquer a David, qui lui tout en regardant le proviseur, il se mire a penser. ( On dirait que je ne suis pas au bout de mes surprise…) se dit-il a lui-même, puis il continue d’écouter le proviseur, qui ajouta autre chose.
- Et aussi, elle devrait faire attention avant de parler. Voir même y réfléchir.
- Pourquoi ça ?
- Parce qu’elle m’a fait des mises en garde contre moi.
Répondit-il a David, qui se redressa d’un coup en écoutant la réponse de ce dernier, il fut étonnait et a la fois intriguer sur ce qu’il vient d’entendre de la part du proviseur.
- Vous dit qu’elle vous a fait des menaces ? C’est bien cela ?
Demanda-t-il au proviseur, pour avoir la bonne confirmation de ce qu’il est en train de comprendre.
- C’Est-ce qu’elle m’a fait comprendre.
- Et bien, je vais m’en occupée et ça va barder.
- Cependant je sais qu’elle peut être quelqu’un de bien, mais là, pour sont entrée, elle fait très fort.
Ajouta-t-il à David.
Lorsque tout les deux son en train de discuter sur le comportement de l’ainée des Collins. Quelques minutes plus tard, les filles arrivent enfin à la villa. Bernadette, elle entra en première et alla directement dans le salon, tout en disant.
- David, c’est nous, on viens de…
Lorsqu’elle arriva dans le salon, elle ne termina pas sa phrase, puisqu’elle est surprise de voir le proviseur du lycée a la villa. A ce moment là, elle ne penser pas du tout que le proviseur aurait osée se déplacer de lui-même. Là, vraiment elle a fait vraiment très fort pour le premier jours, pour faire déplacer un proviseur, faut vraiment y aller. Alors, qu’elle est en train de regarder le proviseur et le protecteur, Gwen entra a son tour et ferma la porte derrière elle. Et alla vite rejoindre sa sœur au salon, au même moment elle fut surprise de voir le proviseur, et elle se demanda ce qu’il faisait là. Vue que pour une fois Gwendoline, n’a rien fait du tout, mais plutôt Bernadette.
Alors, David, il regarda un instant les deux sœurs, et il remarqua qu’elles ont la même réaction en voyant le proviseur a la villa. Tout en regardant l’ainée des Collins, David prend la parole.
- On c’est bien amuser aujourd’hui ? N’Est-ce pas Bernadette ?
- Hein ?
Répondit Bernadette, ne comprennent pas vraiment ce que David vient de lui dire, alors les deux sœurs se jetèrent un regard intriguer. Ne sachant pas pourquoi David venait de lui dire ça, Berna décida de lui posée une question.
- Heu pourquoi tu me dit ça David ?
Demanda-t-elle un peut perdu de ce qu’elle vient d’entendre de la part de leur protecteur.
- Arrête tu sais très bien de quoi je veux parlée.
- Non désoler, je ne voie pas du tout de quoi tu veux parler.
Répondit-t-elle, tout en sachant qu’elle savait très bien ce qu’elle a fait aujourd’hui au lycée, et aussi sur la présence du proviseur chez elles. Mais elle préférant de faire l’innocences, puisqu’elle sait très bien ce que David leur avait dit ce matin, et là, Bernadette venait de faire tout le contraire de ce que David avait demander. Alors, le protecteur et le proviseur se leva du canapé, et ils se dirigent vers l’entrée, et David tout en regardant l’ainée dans les yeux il lui dit.
- Je raccompagne le proviseur, et après on va s’expliquer tout les deux.
Dit-il sur un ton très sérieux, il passa devant les deux sœurs suivie de Max Luke.
Là, les deux sœurs, elles pouvais voir que David, est pas du tout content, et lorsqu’il adressa la parole a l’ainée. Il avait le ton très sérieux, il ne plaisanter en aucun cas. Quelques minute plus tard, David entra et referma la porte et rejoint les filles dans le salon, les bras crois prêt de son tors, il plongea son regard dans celui de Bernadette et lui dit.
- Alors, tu ne voie toujours pas de quoi je parle ?
Lui demanda-t-il, sans la quitter des yeux une seul fois.
- Non, mais donne-moi un indice.
Répondit-elle au protecteur.
A ce moment précise, Davis eu un léger sourit de ce qu’il vient d’entendre de la part de l’ainée, alors toujours sur le même ton, il lui dit.
- Tu veux un indice ? Donne moi ton sac, tu va vite comprendre.
- Non.
Répondit-elle en regardant David et elle serra assez fort son sac contre elle, elle ignore pourquoi ce dernier voulait avoir tant son sac. Sur le regard intriguer elle décida de lui posée la question, car si elle hésiter de lui donnée. C’est que dans son sac, ce trouve une punition plus un mot du prof de français, qui avait demander a Gwendoline de lui donnée sont carnet de correspondance pour lui mettre un mot a l’attention de leur protecteur.
- Dis moi d’abord pourquoi je doit te donnée mon sac ?
- Je te demande juste ton sac, je doit vérifier quelques chose. Mais si tu refuse de me le donnée de ton pleins grès, c’est que tu cache réellement quelques chose. Et je serait dans l’obligation de te le prendre de force…
Répondit-il d’une voix sérieux, mais toujours aussi calme, il n’est pas du genre a s’énerver. Bien au contraire, si jamais il s’énerve, c’est que vraiment il n’aurait pas d’autre choix. Alors, avant de laisser Bernadette de prendre la parole, il lui tandis la mains vers elle et ajouta toujours sur le même ton de voix.
- Je n’ai vraiment aucune envie de te le prendre de force…et toi non plus, tu ne voudrait pas qu’on arrive là. Alors, s’il te plais, donne moi ton sac.
Dit-il gentiment.
Il a toujours son regard posée sur elle, alors que l’ainée regarda Gwendoline puis vers David et enfin vers sont sac. Elle resta quelques seconde en silence, puis elle lui tendis son sac vers la mains de David, qui lui le prend doucement et écouta l’ainée.
- Tien le voilà, et de toute façon je m’en fou.
- Merci. Maintenant, tu vient avec moi et tu laisse ta sœur en dehors de ça.
Répondit le protecteur a Bernadette.
Si vient de dire ça, c’est parce qu’il commence a connaitre comment sont les deux sœurs, dès que l’une d’elles fait des bêtise ou autre, automatiquement la deuxième prend immédiatement sa défense. Et là, David ne veux pas que Gwen s’en mêles, puisque pour une fois elle n’a rien avoir avec les bêtise de son ainée. C’est elle qui a fait une bêtise, alors c’est a elle de prendre les conséquence et de se débrouiller toute seul.
- D’accord, j’arrive.
Répondit-elle en regardant David partie dans une autre pièce, et elle en profita de jeter un regard vers sa sœur. Et part un simple regard, elle lui fait comprendre que ce n’est pas la peine qu’elle vienne avec elle, qu’elle sera se débrouiller seul. En voyant qu’elle n’est pas presser de rejoindre David, celui-ci lève un peu la voix, pour qu’elle puisse bien l’entendre.
- Bernadette, tu te dépêche !
- Oui c’est bon j’arrive ! Et ne t’énerve pas !
- Je ne suis pas encore énerver. Et tu me parle sur un autre ton !
- Ok, c’est bon je n’ait rien dit !!
Répondit-elle tout en se dirigent vers la pièce où ce trouve David.
Elle s’approcha doucement de David, qui celui-ci a posée son sac sur la table et qui a trouvé la fameuse punition du prof James-Spike. Et maintenant, il fouilla dans le carnet de correspondance a la recherche du fameux mot du prof de français. Et il le trouva assez vite, et pendant que Bernadette le regardant en train de lire le mot en question, elle en profita pour lui demander.
- Qu’Est-ce qui se passe ?
- Qu’Est-ce qui se passe ?
Répéta-t-il.
Il posa son regard sur l’ainée, il est vraiment très sérieux et il ne sembler pas vraiment content de l’ainée, puisqu’il montra tout de suite le mot en question et il regarda berna. Qui ne prend pas la peine de lire le mot puisqu’elle se dirigea vers la fenêtre et elle lui répond.
- Je n’ai rien a dire sur ça.
- J’avais dit quoi ce matin ?
Demanda-t-il, sur un ton calme et il regarda l’adolescente qui lui venait de tournée le dos. Il posa le carnet sur la table et croisa les bras et il regarda attentivement Bernadette et il attendait qu’elle lui réponde. Qui d’ailleurs se décida de se retourner vers David, et elle le regarda droit dans les yeux et lui répond.
- Je m’en fou, si on a plus le droit de rigoler, alors c’est du n’importe quoi !
- Il n’y a pas que ça Bernadette, il y a surtout la façon don tu a parlée au prof de français et au proviseur.
Répondit il toujours calmement, mais si berna continue a élever la voix, il sera obliger d’en faire autant. Alors qu’il la regarda, il vit dans sont regard qu’elle fut surprise que David soit au courant de la façon don Bernadette avait parler au deux personne.
- Quoi ? Mais attend là, comment tu le sais ?
- Tout d’abord, j’ai reçu un coup de fils de la part du prof de français, un nommée James-Spike. Qui m’a dit que tu avait une punition de 200 fois a faire et pour demain, mais seulement, tu lui a fait comprendre que tu ne le fera pas et que tu lui a manquer de respect. Maintenant vas-y explique toi sur ça, je t’écoute.
Dit-il à Bernadette, qui elle dès qu’elle entendit le nom de James-Spike, elle laissa échappée un petit rire avant de répondre a David.
- Monsieur James-Spike, notre chère prof de français, il adore vraiment le téléphone.
- Arrête, il ne fait que sont travaille. Celui d’un prof.
- Hé alors ? Il se la pette, parce que monsieur le blondinet est un prof au secourt j’ai peur !!
- Bernadette, ne parle jamais comme ça !! C’est un prof !
- Mais je m’en fou, qu’il soit prof ou le présidant de la terre !! Il se permet beaucoup de chose.
- Sa suffit !! Tu ne semble pas comprendre qu’il ne fait que son travaille de prof, c’est tout !
- Non ce n’est pas tout. Je rigole un peut et voilà.
- Mais vraiment tu semble de pas comprendre, qu’il n’y a pas le fait que tu a rigoler en classe. Même si je ne sais pas vraiment pourquoi, ce rire que tu a eu en cour, mais c’est surtout de la façon don tu lui a parlée !!!
Cria David.
Pourtant, il n’est pas du genre a crier comme ça, mais là il n’avait guère le choix, puisque Bernadette avait commencer en premier. Surtout elle refuser de l’entendre, et ça, a commence a énerver le protecteur. Seulement voilà, Gwen se trouve dans le salon, en train de regarder un peu la télé, elle entendit le protecteur crier sur sa grande sœur. Comme cette dernière, a horreur que quelqu’un crie sur berna, elle ne pouvais s’empêcher de ne pas intervenir. Car elle se leva d’un bon du canapé pour aller vite rejoindre sa sœur et David, lorsqu’elle arriva dans la pièce elle prend immédiatement la parole envers David.
- Hé David ! Arrête de crier sur ma sœur ! Elle n’a rien fait de mal, mise a part rigoler !!
Dit-elle en arrivent dans la même pièce.
Elle savait qu’elle n’aurait pas du intervenir, mais quand il s’agie de sa sœur, elle écoute très rarement de ce qu’on lui dit. Alors qu’elle regarda David, celui-ci, jeta un rapide coup d’œil vers Gwendoline et lui répondit sur un ton le plus sérieusement possible.
- Gwen, je t’ait dit de ne pas t’en mêler.
- Tu ne me fait vraiment pas peur David. Un conseil, ne crie jamais sur berna, car j’ai vraiment horreur qu’on lui crie dessus.
A ce moment là, David, il pouvais voir le liens qui unis les deux sœurs sont assez fort. Car, pour une fois aucune des deux a écouter leur protecteur, et elle se défende a tout de rôles. Même si la plus jeune n’a rien fait, elle intervient tout de même pour défendre sa sœur, d’ailleurs il se demande jusqu’à quel point leur liens est fort. Alors il regarda Gwendoline et lui dit.
-Gwen, arrête c’est pas le moment.
Pendant que les deux on des échangent de paroles, plus au moins assez fort. Bernadette, laissa échappée un petit rire et dit a voix haute.
- Il s’y croit trop en tant que prof pff.
- Bernadette arrête. Ne parle jamais comme ça d’un prof !
- Tien, je vais me gêner !
- Tu est jeune et tu doit le respect envers les adultes, tu n’a pas le droit de parler comme tu a fait !
- Non je ne suis pas jeune vue que je suis l’ainée des deux !
Même durant une dispute, Bernadette fait son humour. L’ainée a toujours été quelqu’un de très calme qui ne s’énerver pratiquement jamais, mais depuis leur arrivée, même bien avant. L’adolescente avait cette impression, que tout va trop vite, qu’elle n’a aucune contrôle sur quoi que se soit, qu’elle ne tenait rien entre les mains. Puisque même répondre au prof et de faire des menace a un proviseur, elle n’avait pas peur et pas froid au yeux, comme si au font d’elle. C’était fermée derrière une porte en fer, incapable d’ouvrit, elle essaya part tout les moyens de laissée apparaitre aucuns sentiment de peur, de fragilité ou autres chose. Elle voulez surtout montrez, qu’elle est fort et que rien ne pourrait l’atteindre… enfin peut être une personne sa jeune sœur. C’est ça seul famille qui lui reste, et elle n’a aucunement envie de la perdre, et ça elle ne laissera vraiment personne lui faire du mal. D’ailleurs, cette dernière, qui regarda la scène de sa sœur, qui commencer a se prendre la tête avec David, ça la fait plutôt rire, puisque depuis qu’elles sont avec leur protecteur, c’est la première dispute qui a lieux.
- Et alors? C’est un prof, on est dans un lycée, c’est finit les punition !! On ai plus des gamin !!
- Berna ! Maintenant ça suffit tu va te calmer ! Et tu va me parler sur un autre ton !
- Je parlerait sur le ton que j’en aurait envie d’accord ?!!!
Répondit-elle sur un ton énerver.
David, préférant de ne rien ajouter d’autre, sentant qu’il va faire une belle connerie, comme part exemple lui mettre une claque pour la calmer un bon coup. Il se força de se calmer et de regarder attentivement l’ainée, même si a fait a peine quelques semaines, qui s’occupe des deux sœurs. Il avait commencer a les connaitre, Gwendoline, elle est certes la plus jeunes des deux, mais elle a un sacret caractère, elle ne laisse pas sa langue dans sa poche. Mais pour Bernadette, il ne comprend pas pourquoi elle se trouver dans un état pareille, car d’habitude, elle ne s’énerver pratiquement jamais, elle est plutôt quelqu’un de calme et réfléchis. Mais là, aujourd’hui, il avait l’impression de voir une autre facette cacher de l’ainée, et il se demande bien pourquoi elle agis comme ça, alors qu’elle pourrait tout simplement discuter.
Alors, il laissa d’abord Bernadette se calmer toute seul, mais lorsqu’il la regarda, il vit qu’elle prend son sac. Laissant son carnet de correspondance et la punition sur la table, en silence elle se dirigea d’un pas très énerver les escalier. Avant de les empruntait, pour aller dans sa chambre elle se retourna vers David qui l’avait suivit et lui dit droit dans les yeux.
- Maintenant tu t’occupe de tes affaire et tu laisse les miens tranquille d’accord ?!
Sans laisser au protecteur de lui répondre quoi que se soit, elle monta immédiatement les escalier. Une fois arrivée en haut, elle se dirigea assez vite vers sa chambre et elle claqua assez fort la porte. Tendit que Davis, il regarda en silence vers le haut des escalier, il commença a se poser des question. Quand elle sera calmer il ira lui parler, il ne voulez pas être contre les sœurs, non bien au contraire, il veux juste les aidée. Surtout si le parchemin il dit vrai, il aura beaucoup de travaille, d’ailleurs pour le moment il faut qu’il découvre qui a une force surhumaine et peut se battre contre n’importe qui, et qui est une puissante sorcière. Seul le temps pourra lui donnée la réponse, étant donnée que les deux sœurs sont consciente de rien et que pour le moment aucun des pouvoirs se sont manifester, enfin sauf pour une.
L’ainée a le pouvoirs de sentir le danger autour d’elle, mais seulement, elle ignore totalement que c’est un pouvoirs. Même si plusieurs minutes après, quelques chose se produit, bon mise a part l’événement qui c’est produit dans le cimetière a Hardville. Elle le garde pour elle, ne sachant pas a qui elle pourrait en parler, peur de risquer de la prendre pour une folle, d’ailleurs si elle en parle a Gwen ou a leur protecteur, ils vont tout les deux lui posée la question du genre « mais que fais tu dans un cimetière en pleins nuit ? » et c’Est-ce genre de question qu’elle aimerait éviter le plus possible, car elle-même, elle ignore pourquoi elle c’est retrouver dans ce cimetière, elle était comme inconscient, attirée part ce lieux. Ce lieux qui lui a faillit lui couter la vie et faillit rejoindre leur parent, et laissant ainsi sa petite sœur, seul au monde, seul au danger. Mais heureusement pour elle, elle a sut se débrouiller seul face au danger, mais depuis ce jour, elle commença a se poser des questions. Des questions qui resteront pour le moment sans réponse.
Mais chez Gwendoline, pour le moment rien ne c’est déclencher, enfin sa ne serait tarder. Il peuvent se manifester n’importe quand, il faut juste attendre et de voir. Un silence apparut dans la villa, David ne sachant pas quoi faire pour l’instant juste a attendre un petit moment, pour laissée a l’ainée de ce calmer. Il tourna son regard vers la plus jeune, à ce moment là, il vit Gwen qui est en train de bien rigoler de la situation, alors il lui dit.
- A ce que je voie, ça te fait bien rire.
- Je ne vais pas pleurée parce que c’est toi.
- Tu a de la chance que je ne m‘énerve pas sur toi.
- Alors-là, tu n’a pas intérêt. Et ne croit pas que tu me fait peur.
- Pourquoi, je devrait te faire peur ? Et ne me provoque pas.
Lui répondit à Gwen.
Il regarda de nouveau le haut des escalier, même s’il ne connait pas leur passée. Il n’avais pas encore vue Bernadette dans cette état. Puisqu’a chaque fois qu’il a voulu savoir quelques chose sur elles, sur leur vie. Toute les deux lui refuser de lui répondre, aucunes des deux ne voulais lui parler de leur vie, mais il sais une chose, que si elles refuser toute les deux de lui parler de leur vie, c’est que quelques chose de grave leur arrivée. Mais elles sont incapable d’en parler…Que se soit Gwendoline ou Bernadette, aucune ne voulez parler. Alors, seul le temps pourra leur donnée la force de parler, la force d’avancée.
Alors, qu’il sembler avoir l’esprit occuper, qui ne dure pas longtemps, car Gwen lui adressa une nouvelle fois la parole a David.
- Mais ne t’en fait pas pour elle, ça lui passera. Quoi que même si c’est la première fois que je la voie s’énerver ainsi. Bon tu vient m’aider, j’ai envie de faire a manger.
Dit-elle au protecteur, qui regarda une dernière fois vers l’étage.
En silence, il alla rejoindre sa jeune protéger, pour l’aider a faire a manger.

**************************************************************************************

1 heure plus tard

Dans la villa, le silence fut présente, Bernadette se trouve toujours dans sa chambre, elle ne l’avait jamais quitter. Tendit que David, lui il est en train de mettre la table, pendant que Gwen finis de faire les frittes avec des steaks. D’ailleurs, lorsque David termina de mettre la table, il profita de l’occasion pour aller voir Bernadette dans sa chambre. Histoire de savoir si cette dernière c’était ou non, calmer. Si elle est calme, il essayera d’avoir une conversation avec elle, pour la comprendre. En quelques minutes, il arriva a la chambre de l’ainée, il donna de léger coup a la porte est en silence, il entra et referma la porte derrière lui.
Lorsqu’il venait de pénétrer dans la chambre, il vit que l’adolescente se trouva devant la fenêtre, entrain de regarder dehors. Sans rien dire, il se met devant la porte pour évitée qu’elle sort pour ne pas avoir a s’expliquer. Il regarda la jeune fille durant quelques seconde, puis il bris le silence en lui adressant la parole.
- Ça va ?
Lui demanda-t-il.
Il espère qu’il va avoir une réponse de sa par, mais non, elle garde le silence. Au moins elle c’est calmer, ce qui est une bonne chose pour le protecteur, puisqu’il peut lui parler. Alors qu’il a le regard posée sur elle, celle-ci se retourna vers David, mais sans le regarder, préférant de regarder le sol de sa chambre. Elle s’appuya le dos contre la fenêtre, et elle l’écouta attentivement de ce qu’il a lui dire.
- Ecoute, je suis désoler pour tout a l’heur… je ne veux pas être contre toi et ta sœur. Mais sache que je veux simplement vous aider et non être contre vous.
- Sa je le sais, mais pourquoi ? Pourquoi nous ? On arrive dans cet grand ville est comme part hasard on tombe sur toi, qui veux justement nous aider et j’aimerais bien savoir pourquoi.
David, il écouta attentivement Bernadette, qui aimerait vraiment savoir pourquoi il veux les aidée. Il voudrais lui aussi être franche avec elle, et de lui dire la vérité, mais pour le moment il ne peut rien dire. Puisqu’il doit d’abord découvrit qui est qui, et là, il pourra leur dire la vérité, sur le fait qu’elles soit tout les deux là, sous sont protection. Pour l’instant, il doit attendre, mais il espère qu’il n’aura pas attendre trop longtemps, mais grâce au temps, il peut durant ce temps a mieux les connaitre. Est ainsi il pourra mieux voir lorsqu’il leur dévoilera la vérité.
Cependant, il a une question, pourquoi elles sont rentrez dans un cimetière d’une ville qu’elle ne connait pas du tout. Mais lorsqu’il lui posera la réponse, il sens qu’elle lui tournera la question contre lui, c’est un risque qu’ il prend. Alors il s’appuya contre la porte et croise les bras tout en regardant l’ainée et lui répond.
- J’aimerait également vous le dire, mais nous ne connaissons pas encore assez. Laissons nous le temps de bien nous connaitre.
- Sa sera quand ?
- Le temps nous le dira.
- Oui…toujours le temps…comme si on avait que ça…
Puis un silence s’installa durant quelques minutes, Bernadette lâcha un long soupire. Elle savait pourquoi il était là, car il voulais avoir une explication, mais cette dernière ne voulais pas, alors même si elle voie David qui c’est mise devant la porte, pour l’empêcher de sortie. Elle essaye tout de même, elle se dirigea en silence vers David, qui s’appuya contre la porte, elle posa une mains sur la poignez de la porte et essaye de l’ouvrit mais en vains. Alors il en profita pour lui posée une question.
- Dis moi Bernadette, pourquoi vous étier dans le cimetière ?
- J’en sais rien, j’ai pas de réponse.
Dit elle en regardant David, puis elle reprit
- Laisse-moi sortir s’il te plais.
- Non…il faut qu’on termine notre conversation de tout a l’heure.
Répondit-il à l’ainée.
Qui enleva sa mains du poignet de la porte et soupira et se dirigea vers son lit, pour s’y assoir. Elle s’appuya ses deux coudes sur ses genou et plonge son visage dans ses mains, elle n’a vraiment aucune envie de parler de sont comportement qu’elle a eu aujourd’hui dans le lycée. Mais vue que David a était mise au courant part le prof de français part téléphone, plus la visite du proviseur du lycée. Et avec ce qu’il a apprit, il n’a pas le choix que d’avoir une explication avec sa protéger, surtout qu’elle est mineur. Et le fait qu’elle agis comme sa envers deux adultes qui sont de l’autorité sur elle, si elle ne se calme pas elle risque fort d’avoir des ennuie et ça David veux a tout pris les évitée. Alors s’il faut qu’il se montre dure envers elles ou sa jeune sœur, il n’hésitera pas une seconde, puisque c’est pour leur bien a tout les deux.
Alors qu’il regarda la jeune filles, il s’assura qu’elle ne partira pas, et que si jamais elle tente quoi que se soit il la rattrapera, avant qu’elle ne puisse sortie de la pièce. En silence il alla s’assoir a sont tour a coter de l’ainée sur le lit, dans la chambre, il y avait une douce lumière qui vient de la lampe de chevet qui est posée sur la table de nuit a cotée du lit. Il garda quelques minutes le silence, il devait savoir pourquoi elle avait répondu au prof et faire des menaces envers le proviseur du lycée, il ne pouvais pas laisser passée, car elle pourrait très bien recommencer.
- Alors, Est-ce que je peut savoir pourquoi tu a parler comme ça envers le prof de français ?
Demanda-t-il calment et gentiment.
Il regarda de temps a autre la jeune fille et attende qu’elle lui donne une quelconque réponse.
- Non, mais attend, c’est vrai quoi ! Je rigole un peu avec ma sœur et voilà que lui, il met des punition, comme si on était encore des gamin. Il est vraiment débile !
- Berna, ne recommence pas s’il te plais, je te parle calment alors fait en autant s’il te plais.
- Désoler, ça m’a échappée…
- Dit-moi ce qui c’est passée en court ?
- Ben, j’ai rigoler avec Gwen et après il y a un moment où elle c’est lever pour me voir et le prof James-Spike l’arrêt, et moi j’était prise dans un fou rire. Est en plus ça fait longtemps que je n’est pas rigoler comme ça avec Gwen. Et là, le prof il ma posée des question sur pourquoi j’ai rigoler, et comme c’était une truc de fille, je n’est pas voulut lui dire…Et c’est là, qu’il m’a mise une punition, que j’ai d’ailleurs dit qu’il était con et que je ne le ferait pas. Et il m’a envoyer chez le proviseur…Voilà tu sais de ce qui c’est passée avec le prof.
Expliqua-t-elle à David.
Qui lui, regarda droit devant lui tout en écoutant l’explication de l’ainée. Il comprit pourquoi James-Spike lui a Donnée cette punition de 200 fois a faire, alors il reprend la parole en prennent une voix sérieuse.
- La punition de 200 fois que le prof ta donnée, tu le fera.
Dit-il a Berna, qui elle le regarda et dit.
-Quoi tu plaisent ?
Répondit-elle sur un ton de surprise.
Lorsqu’elle regarda Davis, celui-ci la regarda a sont tour, pour lui montrez, qu’il n’avait pas l’aire de plaisanter, bien au contraire. Il est vraiment sérieux, il n’a aucunement envie de rire avec ça. Il est leur protecteur, il doit avoir de l’autorité sur elles leur imposée la lois, sans être trop dure avec elles.
- J’en ait l’aire ?
Répondit-il.
-Non…
Répondit-elle en baissant les yeux, elle n’aimée pas trop ce genre de situation car elle n’en a jamais connue. À Hardville, tout est différant, même si aucuns n’habitants ne les apprécier, en court Berna et Gwen, faisait tout pour ne pas être remarquer, elles étaient toujours seuls, dans leur coins. Elles n’avaient jamais eu d’amie, maintenant pour elles tout est nouveaux, elles sont toute les deux des amies, et elles n’ont pas peur de dire ce qu’elles pensent. C’ est surtout a causse de la colère et de la méfiance envers les gens.
- Bien, alors tu le fera après manger, et lorsque tu l’aura finit, tu viendra me le montrer, et je te le signerait.
-Là n’y compte pas !
- Tu ne veux pas le faire, alors après manger on viendra ici et je te regarderait écrit, tu le fera tu n’a pas d’autre choix.
- Mais…
- Il y a pas de mais ! Tu a fait une bêtise, maintenant tu assume !
Dit-il a Bernadette, en haussant un peu le ton de voix.
Lorsqu’il regarder berna, il a toujours son regard sérieux, il n’aime pas se montrez dure, mais si n’a pas le choix il le fera, puisque c’est pour leur bien a toute les deux. Bernadette n’osa plus regarder son protecteur, car il avait raison et elle le savait qu’elle avait fait une bêtise. Ce qui est étonnant de sa part.
- D’accord…
Le silence s’invita a nouveau dans la chambre de l’ainée, une partie de la conversation est terminée. Il reste l’autre partie, celui du proviseur, il avait apprit part ce dernier, que Bernadette lui a fait des menaces. Et il se demande bien pourquoi elle lui a fait ça, et c’Est-ce qui compte bien découvrit dans quelques minutes avec l’ainée. Car, on ne fait jamais de menace comme ça, sans raison, surtout si c’est une adolescente envers un adulte. Alors, en regardant le meuble qui se trouve contre le mure, droit devant lui, il prend la parole.
- Bon pour le prof de français c’est bon c’est régler et lorsque tu lui donnera la punition tu t’excusera part la même occasion. Maintenant explique moi cette histoire avec le proviseur ?
- Quoi quelle histoire ?
Demanda-t-elle intriguer.
- Tu sais très bien, tu a été dans son bureau et il parait que tu lui a fait des mise en gardes, qu’il doit faire attention.
Répondit-il en la regardant droit dans les yeux.
- Ha ça…
- Oui ça, et j’espère que tu a une bonne explication a me donnée ? Car tu n’a pas été de mains mort en faisait des menaces a un proviseur.
A ce moment là, il espère vraiment qu’elle a une bonne explication pour le proviseur. Faire des menaces, faut avoir de très bonne raisons, et de ne pas avoir froid au yeux, alors qu’il est a l’écoute de l’explication, de la jeune Collins. Il remarqua qu’elle garde le silence, comme si l’explication qu’elle lui donnera ne serait pas du tout crédible au yeux du protecteur. Mais si jamais elle continue a garder le silence ainsi , il prendra la parole, et il sera encore un peu plus dure, qu’avec la partie du prof de Français. De toute façon, il c’est jurée de s’occupée d’elles, surtout si c’est bien les deux sœurs qui sont dans le parchemin. Bon, il ne remplacera jamais leur père, et c’est pas du tout son attention, mais juste a être là, a leur apprendre et a faire attention, c’est tout le rôle d’un protecteur. Lorsqu’il tourna son regard vers elle, il vit sur son visage qu’elle allait enfin briser le silence et lui donnée son explication.
- Pour ça…je ne sais pas trop ce qui m’a prit…
Commença-t-elle.
- Je t’écoute, vas-y…
- Je suis aller dans son bureau a cause de mon comportement envers le prof, et lui, il m’a dit de faire attention car je pourrait être virée et tout. Mais sa je m’en fout, je ne l’écouter pas, mais lorsque j’allait sortie de sont bureau, il a parler de ma sœur. Et c’est a ce moment là que c’est partie… j’aime pas quand on parle de ma sœur comme sa, c’est le seul truc que je déteste, c’est qu’on parle de ma sœur comme sa.
Expliqua-t-elle a David.
Qui écouta très attentivement l’explication de l’adolescente, pour ça il ne dira rien. Puisqu’elle ne veux que protéger sa jeune sœur et c’est tout a fait normale, donc il se contenta, juste lui répondre.
- D’accord, c’est une explication recevable, mais sa sera la dernière fois d’accord. Mais je veux qu’après les court que tu ira t’excuse dans le bureau du proviseur et que tu ne recommencera plus jamais de lui faire les menaces.
Dit-il a Bernadette.
- D’accord mais…
- J’ai était claire ?
Coupa immédiatement la parole de Bernadette.
- Oui très claire…
-Bien…
Pendant que David et Berna, reste dans la chambre, au raid-chaussez dans la cuisine. Gwendoline, vient de finir de faire les frittes et les steak, alors avant de mettre dans les assiette qui sont poser sur la table. Elle se dirigea vers le pied des escalier et se mire a criée assez fort pour que David et Bernadette puisse bien l’entendre.
- David, Berna, c’est prêt, venait manger !!!
Cria Gwen.
Lorsque David entendit Gwendoline, leur annoncer que le repas et prêt, il se leva du lit et se dirigea vers la porte et l’ouvra. Et ce mise également a criée, pour répondre a Gwendoline.
- On arrive Gwen !!
Puis il prêta de nouveau son attention sur l’ainée, elle est rester assise sur sont lit. Elle n’avait plus parler, d’ailleurs elle ne savait pas quoi d’autre ajouter, étant donnée que tout avait été dit. Alors toujours en la regardant, il lui adressa la parole.
- Maintenant on va aller manger, et après tu retournera dans ta chambre et tu fera ta punition.
- J’ai le choix ?
- Aucun, maintenant tu viens.
Sans lui répondre quoi que se soit, elle se leva du lit en silence et se dirigea vers la porte sans regarder une seul fois le protecteur. Tout les deux se dirigea vers le salon pour manger, Berna se met entre Gwendoline et David, et lorsque tout le monde fut bien installer tout les trois commencer a manger tranquillement.

**************************************************************************************

Quelques part dans un immeuble abandonnée.


La nuit venait enfin d’apparaitre sur la ville de los Angeles, elle fut tout de même éclairée, par des lampadaire qui sur trouver dans toute les rues. Les seuls endroit ou il ne sont pas éclaire, se sont les petite et grande ruelle, d’ailleurs a l’écart des maisons. Il y a un endroit qui est isoler, il y a un immeuble qui est abandonnée depuis des années avec un sous-sol. Dans cette immeuble en question se trouve un homme grand et des cheveux blond, il est assez autoritaire, celui-ci semblait écrit une lettre. Lorsqu’il termina de l’écrit, il regarda un de ses sbire et avec un sourit narquois il donne la lettre en question tout en disant.
- Je vous donne la lettre, vous aller la donnée a Mick Harrison, vous lui dirait qu’il donne la lettre a sa nouvelle amie qui s’appelle Bernadette Collins.
- Très bien monsieur nous y vont de ce pas.
Sans perdre une minutes, les sbire de l’homme inconnu, se dirigea vers la sortie du bâtiment et se dirige assez rapidement vers la maison de Mick Harrison. Tendit que l’homme sans nom, lui il se dirigea vers sa maison tranquillement, il a envie de jouer un peut avec l’ainée des Collins, la faire plonger dans ses doute, dans ses peur. Surtout qu’il n’a pas du tout aimée le comportement de cette dernière, et il va lui montrait de quoi il est capable, et qu’il ne faut jamais s’affronter a lui quand on ne le connait pas.

Durant ce temps, Mick il avait finit de manger, et comme tout les soir après mange, son habitude c’est de prendre l’aire frai de la nuit. Marcher tout seul dans les rues de la ville et de profitée le peut de silence, seulement il ne se doute pas de ce qu’il va lui arrivée ce soir. Alors, qu’il sort tranquillement de chez lui, il a juste eu de temps de faire quelques mètres a peine. Quand tout d’a coup Trois personnes habiller en noir lui faisant face, ils sont apparut de nulle part, ils sont arriver comme part magie. La preuve, ils sont réussir a faire peur à Mick, qui ne s’attendez pas du tout a ça, puisqu’il sursauta en lâchant un crie de peur et recula de quelques pas tout en disant.
-Ha mais qui êtes vous ?
- Vous êtes bien Mick Harrison ?
Demanda l’uns des trois inconnu.
Mick, il ne pouvais pas voir leur visage, étant donnée que tout les trois ils sont habiller tout en noir. Tout ce qu’il pouvais voir ce ne sont que leur yeux et rien d’autres, lorsqu’il entendit son nom, il ne se sent pas du tout rassurer. Alors en restant sur ses garde, il leur répond.
- Oui…c’est…c’est bien moi…que vous me voulez-vous ?
Demanda-t-il inquiétiez pour sa vie.
-Vous devait donner cette lettre a votre amie qui s’appelle Bernadette Collins !
- Pourquoi ?
- Faite ce qu’on vous dit ! Sinon vous mourrait !!
Répondit l’uns des trois hommes.
- D’accord je vais le faire promit !
Puis tout les trois repart de là, ou il sont venue.
Tendis que Mick, reste figer sur place durant plusieurs minute. Il avait toujours peur pour sa vie, tellement peur qu’il regarda attentivement autour de lui. Lorsqu’il vit qu’il n’y a plus personne, son regard se pose sur la fameuse lettre qu’il doit donnée a l’aînée des Collins. Il ignore s’il pouvais la lire ou non, mais comme c’est une simple feuille plier en deux, donc il prend la décision de la lire. Il le déplia doucement et commença a lire a voix base.
« Bernadette Collins, je sais tout de vous, qui est votre sœurs et qui sont vos amie. On vous surveilles vous et vos amie, je sais exactement de ce que vous avait fait en court. Vous n’avait pas été du tout sympa en l’un des prof, vous lui avait manquer de respect alors que vous êtes mineur, continue comme sa on risque fort de passer a l’action. Ceci est un premier avertissement, je n’aime pas du tout votre comportement, alors faite très attention a vous a votre sœur et a vous amie. Ceci est de la part l’homme mystère. »
Une fois que Mick finit de lire la lettre en question, un frisson lui parcourut tout long de sont Corp. Il regarda aux alentour, commencent a se posée des questions, sur la personne qui est en train de les surveiller. Mais comme il doit remettre la lettre en mains propres a Bernadette, sans perdre de temps, il décida vite aller la voir chez elle a la villa du protecteur.
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





The Destiny of Collins Sisters ( épisode 2) Empty
MessageSujet: Re: The Destiny of Collins Sisters ( épisode 2)   The Destiny of Collins Sisters ( épisode 2) Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 
The Destiny of Collins Sisters ( épisode 2)
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» The Destiny of Collins Sisters
» bernadette Collins
» Gwendoline Collins
» Les Collins et leur entourage [4/5]
» Les Liens de Bernadette Collins

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Hardville :: Espace détente :: Vos écrits-
Sauter vers: